Je me réjouis de ta parole, Comme celui qui trouve un grand butin.
Yeshoua dans

Luc 24: 25 "Alors Jésus leur dit : O hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent à croire tout ce qu'ont dit les prophètes ! 26 Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses, et qu'il entrât dans sa gloire ? 27 Et, commençant par Moïse et par tous les prophètes, il leur expliqua dans toutes les Ecritures ce qui le concernait... 44 Puis il leur dit : C'est là ce que je vous disais lorsque j'étais encore avec vous, qu'il fallait que s'accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes."

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Yeshoua le CHEMIN pour traverser les eaux profondes

Yeshoua le CHEMIN pour traverser les eaux profondes
Israël mon élu (Esaïe 45-4)

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Cours d'hébreu pour les nuls

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Cours d'hébreu

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Présentation du cours d’hébreu

Bien chers amis d’Israël bonjour !

L’assemblée Beth Yeshoua vous propose une initiation à l’hébreu biblique. Chacun, chacune d’entre nous qui avons comme livre de chevet la Bible, savons combien il est important de toujours aller plus loin dans la compréhension de la Pensée de Dieu. La Bible, sous l’inspiration de la Grâce  nous apporte Vie, Lumière, guérison et consolation. Mais ces écrits bibliques ne nous sont pas donnés sur un claquement de doigts : il faut des efforts, de la recherche. L’Apôtre Paul nous dit que la piété c’est comme le sport : ça demande de l’entrainement, de l’exercice. Lui qui exhortait les païens grecs de son époque, il les invitait à chercher Dieu qui accepte de se laisser trouver par tâtonnements. 

Une de ces recherches dans la Parole de la Vie est l’hébreu. On en veut pour exemples les 2 cas qui suivent : 

Il y a 2000 ans, l’ange s’approchait de Myriam en lui disant qu’elle allait avoir un fils, et l’évangile de Mathieu nous rapporte :

« 20 Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit: Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a conçu vient du Saint-Esprit; 21 elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. 22 Tout cela arriva afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète: 23 Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. 24  Joseph s’étant réveillé fit ce que l’ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui. 25  Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus. » (Matthieu 1 :20-25)

Prononcé de la sorte, le Nom de Jésus est accompagné de son explication. Lorsque l’ange annonce que c’est Lui qui sauvera son peuple de ses péchés, c’est précisément parce que c’est ça que signifie le nom de Jésus en hébreu. Le terme « Jésus » vient du grec. On ne parlait évidemment pas le grec en Israël du temps de Jésus comme on parle l'anglais aujourd'hui mais la langue parlée était l’hébreu ou l’araméen qui est un dialecte de  l’hébreu.

La langue couramment utilisée dans le langage courant en Israël, langue parlée pendant la période du Second Temple de 539 à l’an 70 après J.-C. et la langue d'une grande partie des livres bibliques de Daniel et d'Esdras et aussi la principale langue du Talmud était l’araméen. L’hébreu est parlé dans les couches cultivées du sud de la Judée alors que l’araméen semble avoir dominé le nord, c’est-à-dire la Galilée. Les écrits de Qumran représentatifs de la littérature de l’époque sont majoritairement en hébreu classique.

Le grec est présent au Moyen-Orient depuis l’époque de l’empire assyrien. Dans le livre de Daniel, on aurait retrouvé des mots d’origine grecque. Les peuples du Moyen-Orient et du bassin méditerranéen ont subi des influences. 

A partir de la conquête d’Alexandre,  une variante du grec attique, la koïnè devient la langue administrative  de l’empire séleucide, sans doute en concurrence avec le perse et l’araméen, puis de l’empire romain, en concurrence avec le latin.  Le grec koïnè est la langue de communication, la langue véhiculaire de l’empire romain, l’équivalent de l’anglais aujourd’hui.  Il semble que les patriciens romains utilisaient le grec en famille. Au moment de sa mort, Jules César adressera une malédiction à Brutus en grec : « καὶ σὺ τέκνον » , « qu’il en soit de même pour toi mon fils ».

A l’époque de Yeshoua, de nombreuses villes de la terre d’Israël parlent le grec, particulièrement dans la Décapole où des nombreux Israélites « déjudaïsés » vivent en symbiose avec d’autres populations païennes. Dans certaines villes de Galilée comme Sépphoris et Tibériade, en Galilée étaient majoritairement hellénophone. (Lire plus loin...)

Le nom francisé « Jésus » ne signifie rien alors que « Yeshoua » signifie Dieu sauveur et apporte une source intarissable d’informations. A propos de l’hébreu, Claude Tresmontant, un exégète disait :

"On rape, on gomme, on rabote l'hébreu, on arrache les ronces, on élimine toutes les expressions hébraïques qui sont impossibles en français et on trouve une traduction lisible qui a perdu toute la sauvagerie de la végétation originale et originelle, on a perdu le sel, le goût, on les a rendus "civilisés"

Si Dieu a donné sa Parole en hébreu et non en français, c’est pour un but. A nous donc de découvrir ces trésors merveilleux.

Un de ces trésors prodigieux parmi tant d’autres que l’on peut mentionner c’est le mystère de la croix. 

Lorsque le Messie victorieux annonce dans le livre de la révélation qu’il est l’alpha et l’oméga, en réalité il dit « je suis le alef et le tav ». Alef et Tav sont les première et dernière lettre de l’alphabet hébraïque. Chaque lettre de l’alphabet hébreu a une signification prophétique. 

« Alef » signifie « taureau, bœuf, prince, maître, conseiller, époux » et 

« tav » signifie « signe, marque, signature ». 

L'écriture Proto-Sinaïtique fut la première écriture consonnale. Les plus anciennes traces de cette écriture remontent à 19 siècles avant JC dans le nord de l'Égypte et la péninsule du Sinaï. Les dernières traces remontent au 11ème  siècle avant JC. A l’époque la lettre tav prenait la forme d’une croix.

Que voyons-nous dans l’hébreu au sujet de la croix ?

La lettre Alef, tant dans sa signification que dans sa forme représente le sacrifice du Prince, du Conseiller et de l’époux sur la croix.

La croix se dit Tselav (de traverser, franchir, croiser). Ce mot est composé de Tsel (l’ombre, la protection) et Lev (le cœur). 

Par l’hébreu, on découvre que dans la croix, pour que nous puissions être à l’ombre de Ses ailes, quelqu’un a dû avoir le cœur blessé. 

Dans la croix nous trouvons tsela la prière et l’adoration et leven la blancheur (notre conscience est lavée dans le sang) et enfin nous devenons des pierres vivantes cuites au four. 

Nous vous invitons donc à venir nous rejoindre pour en apprendre plus. Vous pouvez vous manifester en nous écrivant à l’adresse    ou en nous téléphonant au 064/21.23.90.

Cette initiation à l’hébreu biblique aura lieu dans les locaux du centre messianique à la rue de Baume 239, 7100 La Louvière.

Apportez votre Bible, un classeur à anneaux avec fardes plastifiées, un cahier ligné, un bic ou des crayons de différentes couleur seront les bienvenus.

Shalom

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