Du sein de la détresse (Metsar) j'ai invoqué l'Eternel

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Parmi les passages bibliques qui fortifient notre âme, il en est un, le Psaume 118-5 qui nous montre quel Dieu Merveilleux nous avons et comment Il prend soin de nous. Non seulement Il nous protège, Il est notre secours mais en plus Il nous donne l'assurance et la fermeté dans l'épreuve, une assurance telle que devant nos ennemis nous nous réjouissons !

" 5 Du sein de la détresse (metsar) j'ai invoqué l'Eternel : L'Eternel m'a exaucé, m'a mis au large. 6 L'Eternel est pour moi, je ne crains rien: Que peuvent me faire des hommes ? 7 L'Eternel est mon secours, et je me réjouis à la vue de mes ennemis." (Psaume 118:5-7)
Cette détresse n'est pas seulement une petite gène ou un petit malheur : en hébreu "metsar" est lié au mot mitsriy "doublement oppresseur" (4713) et Mitsrayim "terre d'oppression" et Mitsrayim c'est l'Egypte.
La détresse du Psaume 118:5 est directement liée à l'Egypte ancienne et à ses pratiques occultes.
Malgré cela, l'époque de profonde détresse dans laquelle l'humanité est entrée depuis quelques années laisse quand même aux croyants l'espoir que quelque chose va bientôt changer. La promesse divine est bien là.

Cette détresse dont il est question ici n'est pas une détresse humaine ou logique : elle est profondément diabolique. Derrière cette détresse se cache une oppression liée à l'Egypte ancienne, c'est-à-dire l'Egypte du péché, l'Egypte de l'idolatrie, celle des pratiques ténébreuses profondément occultes, l'Egypte des magiciens.

La détresse "metsar" c'est l'angoisse qui nous étreint : on parle alors d'oppression, détresse, tension, gène. Dans les racines, le mot "metsar" donne mitsriy "doublement oppresseur" et Mitsraïm (Egypte) "terre d'oppression".
C'est l'angoisse provoquée par des persécuteurs comme dans Lamentations 1:3, où la victime est opprimée et dans une grande servitude. C'est l'angoisse du sépulcre dans Psaumes 116 : 3 où les liens de la mort nous environnent.

Metsar 4712 מֵּצַר vient de la racine 6862 tsar צַר (- ennemi, adversaire, contre, espace, détresse, étroit, oppresseur, angoisse, sceau, persécuteur, cailloux, angoisse, assaillant, être conquis).

Le mot tsarar צָרַר une racine signifie ennemi, adversaire, rivalité, combattre, envelopper, assiéger, recoudre, détresse, extrémité, être lié, douleur, être enfermé, angoisse, opprimer, renfermer, persécuter, oppresseur, serrer, hostile, étroit, (femme) en travail.
Le mot "metsar" est en fait le participe de "tsarer" "lier" et "Tsor" signifie ennemi, oppresseur. De la même racine on tire "assar" (alef-sameh-resh) signifie resserrer.

Comme nous voyons dans les pratiques de l'islam actuel, l'Egypte ancienne vivait sur base de la culture de la mort. Toute la vie était basée sur la mort. Aujourd'hui l'islam se suicide à petit feu, non seulement pour mourir et suicider ses propres adhérents dans des attentats, mais en plus aux yeux des nations en perdant toute crédibilité devant des assaillants sans culture ni morale, des hommes orgueilleux qui considèrent la femme ou les non musulmans comme entité inférieure.

Ce passage du Psaume 118 traite de la question de mort et de la servitude. Mais au verset 5, l'Eternel ne nous laisse jamais longtemps dans cette angoisse "L'Eternel m'a exaucé, m'a mis au large".


Psaumes 118 : 5 Du sein de la détresse (Metsar) j'ai invoqué l'Eternel : L'Eternel m'a exaucé, m'a mis au large.