Il y avait un homme boiteux de naissance, qu'on portait et qu'on plaçait tous les jours à la porte du temple appelée la Belle, pour qu'il demandât l'aumône à ceux qui entraient dans le temple.

Car l'homme qui avait été l'objet de cette guérison miraculeuse était âgé de plus de quarante ans.

A Lystre, se tenait assis un homme impotent des pieds, boiteux de naissance, et qui n'avait jamais marché.

Or, il y avait une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans.

Yeshoua demanda au père: Combien y a-t-il de temps que cela lui arrive? Depuis son enfance, répondit-il.

Et cette femme, qui est une fille d'Abraham, et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du shabbat?

Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans.

Yeshoua vit, en passant, un homme aveugle de naissance.

mais comment il voit maintenant, ou qui lui a ouvert les yeux, c'est ce que nous ne savons. Interrogez-le lui-même, il a de l'âge, il parlera de ce qui le concerne.

Des gens vinrent à lui, amenant un paralytique porté par quatre hommes.

Yeshoua, voyant leur foi, dit au paralytique: Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.

Comment cet homme parle-t-il ainsi? Il blasphème. Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul?

Lequel est le plus aisé, de dire au paralytique: Tes péchés sont pardonnés, ou de dire: Lève-toi, prends ton lit, et marche?

Je te l'ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison.