L'oeil qui le regardait ne le regardera plus, Le lieu qu'il habitait ne l'apercevra plus.

Il a passé, et voici, il n'est plus; Je le cherche, et il ne se trouve plus.

Pourquoi mettre mes pieds dans les ceps, Surveiller tous mes mouvements, Tracer une limite à mes pas,

Et c'est sur lui que tu as l'oeil ouvert! Et tu me fais aller en justice avec toi!

(39:12) Tu châties l'homme en le punissant de son iniquité, Tu détruis comme la teigne ce qu'il a de plus cher. Oui, tout homme est un souffle. -Pause.

Tu mets devant toi nos iniquités, Et à la lumière de ta face nos fautes cachées.

Tous nos jours disparaissent par ton courroux; Nous voyons nos années s'évanouir comme un son.