La voix de la terreur retentit à ses oreilles; Au sein de la paix, le dévastateur va fondre sur lui;

Des terreurs l'assiègent, l'entourent, Le poursuivent par derrière.

Ils ont été emportés avant le temps, Ils ont eu la durée d'un torrent qui s'écoule.

(18:5) Les liens de la mort m'avaient environné, Et les torrents de la destruction m'avaient épouvanté;

(42:8) Un flot appelle un autre flot au bruit de tes ondées; Toutes tes vagues et tous tes flots passent sur moi.

(69:15) Retire-moi de la boue, et que je n'enfonce plus! Que je sois délivré de mes ennemis et du gouffre!

(69:16) Que les flots ne m'inondent plus, Que l'abîme ne m'engloutisse pas, Et que la fosse ne se ferme pas sur moi!

(2:4) Tu m'as jeté dans l'abîme, dans le coeur de la mer, Et les courants d'eau m'ont environné; Toutes tes vagues et tous tes flots ont passé sur moi.

Et voici, pour lui remplir le ventre, Dieu enverra sur lui le feu de sa colère, Et le rassasiera par une pluie de traits.

Qu'ils soient comme la paille emportée par le vent, Comme la balle enlevée par le tourbillon?

Au milieu de la nuit, l'Éternel frappa tous les premiers-nés dans le pays d'Égypte, depuis le premier-né de Pharaon assis sur son trône, jusqu'au premier-né du captif dans sa prison, et jusqu'à tous les premiers-nés des animaux.

Cette nuit-là, l'ange de l'Éternel sortit, et frappa dans le camp des Assyriens cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Et quand on se leva le matin, voici, c'étaient tous des corps morts.

Cette même nuit, Belschatsar, roi des Chaldéens, fut tué.