(41:10) Celui-là même avec qui j'étais en paix, Qui avait ma confiance et qui mangeait mon pain, Lève le talon contre moi.

(55:15) Ensemble nous vivions dans une douce intimité, Nous allions avec la foule à la maison de Dieu!

(55:13) Ce n'est pas un ennemi qui m'outrage, je le supporterais; Ce n'est pas mon adversaire qui s'élève contre moi, Je me cacherais devant lui.

Celui qui souffre a droit à la compassion de son ami, Même quand il abandonnerait la crainte du Tout Puissant.

Mes frères sont perfides comme un torrent, Comme le lit des torrents qui disparaissent.

Tandis que je les aime, ils sont mes adversaires; Mais moi je recours à la prière.

Ils me rendent le mal pour le bien, Et de la haine pour mon amour.

Et Yeshoua lui dit: Judas, c'est par un baiser que tu livres le Fils de l'homme!