(24:14) Des méchants vient la méchanceté, dit l'ancien proverbe. Aussi je ne porterai point la main sur toi.

Quand des méchants s'avancent contre moi, Pour dévorer ma chair, Ce sont mes persécuteurs et mes ennemis Qui chancellent et tombent.

O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

Éternel, n'aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s'élèvent contre toi?

Celui qui dit au méchant: Tu es juste! Les peuples le maudissent, les nations le maudissent.

Mais ceux qui le châtient s'en trouvent bien, Et le bonheur vient sur eux comme une bénédiction.

(5:7) Si tu vois dans une province le pauvre opprimé et la violation du droit et de la justice, ne t'en étonne point; car un homme élevé est placé sous la surveillance d'un autre plus élevé, et au-dessus d'eux il en est de plus élevés encore.

Pour ceux du dehors, Dieu les juge. Otez le méchant du milieu de vous.

Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Yeshoua détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il anéantira par l'éclat de son avènement.

Lorsque tous nos ennemis l'apprirent, toutes les nations qui étaient autour de nous furent dans la crainte; elles éprouvèrent une grande humiliation, et reconnurent que l'oeuvre s'était accomplie par la volonté de notre Dieu.

La voix de la terreur retentit à ses oreilles; Au sein de la paix, le dévastateur va fondre sur lui;

Il n'espère pas échapper aux ténèbres, Il voit l'épée qui le menace;

La lumière du méchant s'éteindra, Et la flamme qui en jaillit cessera de briller.

Ses pas assurés seront à l'étroit; Malgré ses efforts, il tombera.

Il est saisi au piège par le talon, Et le filet s'empare de lui;

Des terreurs l'assiègent, l'entourent, Le poursuivent par derrière.

Ils n'ont aucune part aux souffrances humaines, Ils ne sont point frappés comme le reste des hommes.

L'iniquité sort de leurs entrailles, Les pensées de leur coeur se font jour.

Ils élèvent leur bouche jusqu'aux cieux, Et leur langue se promène sur la terre.

Jusqu'à ce que j'eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, Et que j'eusse pris garde au sort final des méchants.

Eh quoi! en un instant les voilà détruits! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine!

La fureur du roi est un messager de mort, Et un homme sage doit l'apaiser.

Mon coeur est troublé, La terreur s'empare de moi; La nuit de mes plaisirs devient une nuit d'épouvante.

En ce moment, apparurent les doigts d'une main d'homme, et ils écrivirent, en face du chandelier, sur la chaux de la muraille du palais royal. Le roi vit cette extrémité de main qui écrivait.

Alors le roi changea de couleur, et ses pensées le troublèrent; les jointures de ses reins se relâchèrent, et ses genoux se heurtèrent l'un contre l'autre.