Samuel fit donc comme l'Éternel avait dit, et vint à Bethléhem; et les anciens de la ville accoururent, effrayés, au-devant de lui, et dirent: Viens-tu pour notre bien?
Parce qu'Hérode craignait Jean, sachant que c'était un homme juste et saint; il le considérait; il faisait même beaucoup de choses selon ses avis, et l'écoutait avec plaisir.
Et tous ceux du pays des Gadaréniens le prièrent de se retirer de chez eux; car ils étaient saisis d'une grande crainte. Il entra donc dans la barque pour s'en retourner.
Et comme Paul discourait sur la justice, la continence et le jugement à venir, Félix, effrayé, lui dit: Pour le moment retire-toi, et quand j'en trouverai l'occasion, je te rappellerai.
Alors Samuel prit la corne d'huile, et l'oignit au milieu de ses frères, et depuis ce jour-là l'Esprit de l'Éternel saisit David. Puis Samuel se leva, et s'en alla à Rama.
Et l'un de ses serviteurs répondit et dit: Voici, j'ai vu un fils d'Isaï, le Bethléhémite, qui sait jouer; c'est un homme fort et vaillant, un guerrier, qui parle bien, bel homme, et l'Éternel est avec lui.
Alors Saül lui dit: Pourquoi avez-vous conspiré contre moi, toi et le fils d'Isaï, quand tu lui as donné du pain et une épée, et que tu as consulté Dieu pour lui, afin qu'il s'élevât contre moi, pour me dresser des embûches, comme il le fait aujourd'hui?
Et Samuel dit à Saül: Pourquoi m'as-tu troublé, en me faisant monter? Saül répondit: Je suis dans une grande détresse; car les Philistins me font la guerre, et Dieu s'est retiré de moi, et ne m'a plus répondu, ni par les prophètes, ni par les songes; et je t'ai appelé, afin que tu me fasses connaître ce que je dois faire.