Car Christ n'est point entré dans un sanctuaire fait de main d'homme, image du véritable, mais dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu.

Ayant pensé en lui-même, que Dieu pouvait même le ressusciter des morts; aussi le recouvra-t-il par une sorte de résurrection.

Néanmoins la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui n'avaient point péché par une transgression semblable à celle d'Adam, qui est la figure de celui qui devait venir.

Et l'image correspondante, le baptême (lequel n'est pas la purification des souillures du corps, mais l'engagement d'une bonne conscience devant Dieu) nous sauve maintenant par la résurrection de Jésus-Christ;

Si donc la perfection s'était trouvée dans le sacerdoce lévitique (car c'est à celui-ci que se rapporte la loi donnée au peuple), qu'était-il encore besoin qu'il s'élevât un autre Sacrificateur, selon l'ordre de Melchisédec, et non selon l'ordre d'Aaron?

Et tous ceux-là, ayant obtenu un bon témoignage par leur foi, n'ont point remporté les biens promis;

Dieu ayant pourvu à quelque chose de meilleur pour nous, afin qu'ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection.

Recherchant, pour quel temps et quelles conjonctures l'Esprit de Christ qui était en eux, et qui rendait témoignage d'avance, leur révélait les souffrances de Christ, et la gloire dont elles seraient suivies.

Et il leur fut révélé que ce n'était pas pour eux-mêmes, mais pour nous, qu'ils étaient dispensateurs de ces choses, qui vous ont été annoncées maintenant par ceux qui vous ont prêché l'Évangile, par le Saint-Esprit envoyé du ciel, et dans lesquelles les anges désirent plonger leurs regards.

En effet, tout souverain Sacrificateur, pris d'entre les hommes, est établi pour les hommes dans les choses qui regardent Dieu, afin d'offrir des dons et des sacrifices pour les péchés.

Car si le sang des taureaux et des boucs, et la cendre de la génisse, qu'on répand sur ceux qui sont souillés, les sanctifie quant à la pureté de la chair,

Combien plus le sang de Christ, qui, par l'Esprit éternel, s'est offert à Dieu, lui-même, sans tache, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes, afin que vous serviez le Dieu vivant!

Ainsi, la première ordonnance a été abolie à cause de sa faiblesse et de son inutilité;

(Car la loi n'a rien amené à la perfection; ) mais une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu, a été mise à sa place.

Or, la loi, ayant l'ombre des biens à venir, non l'image même des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu'on offre continuellement chaque année, rendre parfaits ceux qui s'approchent de ces sacrifices.

Mais dans ces sacrifices, on rappelle chaque année le souvenir des péchés;

Éternel, mon Dieu, tu as multiplié tes merveilles et tes pensées en notre faveur; nul ne peut être comparé à toi. Veux-je les publier et les dire? Elles sont trop nombreuses pour les raconter.

Tu ne prends plaisir ni au sacrifice, ni à l'offrande; tu m'as percé les oreilles; tu ne demandes point d'holocauste, ni de sacrifice pour le péché.

La loi est-elle donc contraire aux promesses de Dieu? Nullement; car s'il eût été donné une loi qui pût donner la vie, la justice viendrait véritablement de la loi.

Délivre-moi du sang versé, ô Dieu, Dieu de mon salut! Ma langue chantera hautement ta justice.

Car tu ne prends pas plaisir aux sacrifices, autrement j'en donnerais; l'holocauste ne t'est point agréable.