Car Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre œuvre et le travail de la charité que vous avez fait paraître pour son nom, ayant assisté et assistant les Saints.

Or, nous désirons que chacun de vous fasse voir la même ardeur pour conserver, jusqu'à la fin, la pleine certitude de l'espérance;

Et prenons garde les uns aux autres, pour nous exciter à la charité et aux bonnes œuvres.

Je vous donne un commandement nouveau; c'est que vous vous aimiez les uns les autres; que, comme je vous ai aimés, vous vous aimiez aussi les uns les autres.

C'est à ceci que tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres.

Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres.

Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils étaient tous d'un accord dans un même lieu.

Or, tous ceux qui croyaient étaient dans un même lieu, et avaient toutes choses communes;

Et ils étaient tous les jours assidus au temple d'un commun accord; et rompant le pain dans leurs maisons, ils prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cour;

Or, la multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme; et personne ne disait que rien de ce qu'il possédait fût à lui; mais toutes choses étaient communes entre eux.

Que la charité soit sans hypocrisie. Ayez le mal en horreur, attachez-vous fortement au bien.

Quant à l'amour fraternel, soyez pleins de tendresse les uns pour les autres. Quant à l'honneur, prévenez-vous les uns les autres.

Car en Jésus-Christ ce qui est efficace ce n'est ni la circoncision, ni l'incirconcision, mais la foi agissant par la charité.

Frères, vous avez été appelés à la liberté; seulement ne prenez pas prétexte de cette liberté pour vivre selon la chair; mais assujettissez-vous les uns aux autres par la charité.

Mais le fruit de l'Esprit est la charité, la joie, la paix, la patience, la bonté, l'amour du bien, la fidélité, la douceur, la tempérance;

Vous appliquant à conserver l'unité de l'esprit, par le lien de la paix.

Et marchez dans la charité, comme le Christ qui nous a aimés, et s'est offert lui-même à Dieu pour nous en oblation et en victime d'agréable odeur.

S'il y a donc quelque consolation en Christ, s'il y a quelque soulagement dans la charité, s'il y a quelque communion d'esprit, s'il y a quelque compassion et miséricorde,

Ne faites rien par contestation, ni par vaine gloire; mais que chacun de vous regarde les autres, par humilité, comme plus excellents que lui-même.

Pour ce qui concerne l'amour fraternel, vous n'avez pas besoin qu'on vous en écrive; car vous-mêmes vous avez appris de Dieu à vous aimer les uns les autres;

Et c'est aussi ce que vous faites à l'égard de tous les frères qui sont dans toute la Macédoine; mais nous vous exhortons, frères, à y exceller de plus en plus,

Frères, nous devons toujours rendre grâces à Dieu pour vous, comme il est juste, puisque votre foi fait de grands progrès, et que la charité que vous avez tous les uns pour les autres, abonde de plus en plus,

Ayant purifié vos âmes, en obéissant à la vérité, par l'Esprit, pour avoir un amour fraternel et sans hypocrisie, aimez-vous avec constance les uns les autres d'un cœur pur,

Rendez honneur à tous; aimez tous les frères; craignez Dieu; honorez le roi.

Enfin, soyez tous d'un même sentiment, compatissants, fraternels, miséricordieux, bienveillants;

Surtout ayez les uns pour les autres une ardente charité; car la charité couvrira une multitude de péchés.

Et à la piété l'amour fraternel; et à l'amour fraternel la charité.

Celui qui dit qu'il est dans la lumière, et qui hait son frère, est encore à présent dans les ténèbres.

Celui qui aime son frère, demeure dans la lumière, et rien en lui ne le fait broncher.

C'est en cela que se révèlent les enfants de Dieu, et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice et n'aime pas son frère, n'est point de Dieu.

Ne faisons point comme Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes.

Quand nous aimons nos frères, nous connaissons que nous sommes passés de la mort à la vie. Celui qui n'aime pas son frère demeure dans la mort.

Nous avons connu la charité, en ce qu'Il a donné sa vie pour nous; nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères.

Mes petits enfants, n'aimons pas de paroles ni de la langue, mais en action et en vérité.

Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres; car la charité vient de Dieu, et quiconque aime, est né de Dieu, et connaît Dieu.

L'amour de Dieu envers nous a paru en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.

Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres.

Quiconque croit que Jésus est le Christ, est engendré de Dieu; et quiconque aime Dieu qui l'a engendré, aime aussi celui qui est engendré de lui.

Et maintenant, dame élue, je te prie, non comme si je t'écrivais un commandement nouveau, mais celui que nous avons eu dès le commencement, c'est que nous nous aimions les uns les autres.

Et c'est ici la charité, que nous marchions selon ses commandements. C'est là le commandement comme vous l'avez entendu dès le commencement, afin que vous le suiviez.

Mais j'ai contre toi, que tu as abandonné ta première charité.