Et comme il était du même métier, il demeura chez eux, et y travaillait, et ils étaient faiseurs de tentes de leur métier.

Je vous ai montré en toutes choses, que c'est ainsi qu'en travaillant, il faut secourir les faibles, et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, qui a dit lui-même: Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir.

Que celui qui dérobait ne dérobe plus; mais qu'il travaille plutôt de ses mains à quelque chose de bon, afin qu'il ait de quoi donner à celui qui est dans le besoin.

Car vous vous souvenez, frères, de notre travail et de notre peine. C'est en travaillant nuit et jour, pour n'être à charge à aucun de vous, que nous vous avons prêché l'Évangile de Dieu.

Et que nous n'avons mangé gratuitement le pain de personne, mais que nous avons été dans la fatigue et la peine, travaillant nuit et jour, pour n'être à charge à aucun de vous.

Pour présenter à ceux de Sion qui sont dans le deuil et pour leur donner le diadème au lieu de la cendre, l'huile de joie au lieu du deuil, le manteau de louange au lieu d'un esprit abattu; tellement qu'on les appellera les chênes de la justice, les arbres plantés par l'Éternel pour le glorifier.

Tout arbre qui ne porte point de bon fruit est coupé et jeté au feu.

Et voyant un figuier sur le chemin, il y alla, mais il n'y trouva que des feuilles; et il lui dit: Qu'il ne naisse jamais aucun fruit de toi; et aussitôt le figuier sécha.

Il dit aussi cette similitude: Un homme avait un figuier planté dans sa vigne, et il y vint chercher du fruit, et n'en trouva point.

Le vigneron lui répondit: Seigneur, laisse-le encore cette année, jusqu'à ce que je l'aie déchaussé, et que j'y aie mis du fumier.

Mon Père sera glorifié, si vous portez beaucoup de fruit, et vous serez mes disciples.

Ce n'est pas vous qui m'avez choisi, mais c'est moi qui vous ai choisis, et qui vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit soit permanent; et que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne.

Après donc que j'aurai achevé cela, et que je leur aurai remis fidèlement ce produit, je partirai pour l'Espagne, en passant par chez vous.

Étant remplis par Jésus-Christ des fruits de la justice, à la gloire et à la louange de Dieu.

Ce n'est pas que je recherche les dons, mais je cherche à faire abonder le fruit qui doit vous en revenir.

De telle sorte que vous vous conduisiez d'une manière digne du Seigneur, pour lui plaire en toutes choses, portant des fruits en toutes sortes de bonnes œuvres, et croissant dans la connaissance de Dieu;

Et qui sont tombés, il est impossible de les renouveler encore pour la repentance, puisqu'ils crucifient pour eux-mêmes le Fils de Dieu, et l'exposent à l'ignominie.

Mais celle qui produit des épines et des chardons, est réprouvée et près d'être maudite; sa fin est d'être brûlée.

Car Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre œuvre et le travail de la charité que vous avez fait paraître pour son nom, ayant assisté et assistant les Saints.

Afin que vous ne deveniez pas paresseux, mais que vous imitiez ceux qui, par la foi et par la patience, héritent des promesses.

Car si ces choses sont en vous, et y abondent, elles ne vous laisseront ni oisifs, ni stériles dans la connaissance de notre Seigneur Jésus-Christ.