Conformément au glorieux Évangile du Dieu bienheureux, dont la dispensation m'a été confiée.

Et je rends grâces à celui qui m'a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur, de ce qu'il m'a jugé fidèle, en m'établissant dans le ministère,

Ne néglige point le don qui est en toi, qui t'a été donné par prophétie, par l'imposition des mains du conseil des anciens.

Je te recommande devant Dieu, qui donne la vie à toutes choses, et devant Jésus-Christ, qui fit une belle confession devant Ponce-Pilate,

De garder le commandement, sans tache et sans reproche, jusqu'à l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ;

O Timothée! garde le dépôt, fuyant les discours vains et profanes, et les disputes d'une science faussement ainsi nommée;

Et les choses que tu as entendues de moi, en présence de plusieurs témoins, confie-les à des hommes fidèles, qui soient capables aussi d'enseigner les autres.

Je t'en conjure donc devant Dieu et devant le Seigneur Jésus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, lors de son apparition et de son règne,

Car il viendra un temps où les hommes ne souffriront point la saine doctrine, mais où, désireux d'entendre des choses agréables, ils s'amasseront des docteurs selon leurs convoitises,

A Timothée, mon vrai fils en la foi. Grâce, miséricorde, paix de la part de Dieu notre Père, et de Jésus-Christ notre Seigneur.

Vous savez qu'il a été mis à l'épreuve, puisqu'il s'est mis avec moi au service de l'Évangile, comme un enfant avec son père.

Grâce, miséricorde et paix de la part de Dieu le Père, et de Jésus-Christ notre Seigneur!

Toi donc, mon fils, fortifie-toi, dans la grâce qui est en Jésus-Christ.

A Tite, mon vrai fils dans notre commune foi: Grâce, miséricorde et paix de la part de Dieu le Père, et du Seigneur Jésus-Christ notre Sauveur!

Je te prie pour mon fils Onésime, que j'ai engendré étant dans les chaînes,

Car tout ce que Dieu a créé, est bon, et rien n'est à rejeter, quand on en use avec actions de grâces;

Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé, et pour laquelle tu as fait une belle confession en présence de plusieurs témoins.

Car quoique nous marchions dans la chair, nous ne combattons point selon la chair.

En effet, nos armes de guerre ne sont pas charnelles, mais elles sont puissantes en Dieu, pour renverser les forteresses,

Car ce n'est pas contre la chair et le sang que nous avons à combattre, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les princes des ténèbres de ce siècle, contre les puissances spirituelles de la méchanceté dans les lieux célestes.

Soyez donc fermes, vos reins ceints de la vérité, revêtus de la cuirasse de la justice,

Prenant, par-dessus tout, le bouclier de la foi, par le moyen duquel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin.

Priant en tout temps par l'Esprit par toutes sortes de prières et de supplications; et veillant à cela en toute persévérance, et priant pour tous les Saints,

Toi donc, endure les souffrances comme un bon soldat de Jésus-Christ.

Et si quelqu'un combat dans la lice, il n'est couronné que s'il a combattu suivant les règles.

J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi.