(Au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, vous et mon esprit étant assemblés, avec la puissance de notre Seigneur Jésus-Christ,)

Celui donc à qui vous pardonnez, je lui pardonne aussi; (car pour moi ce que j'ai pardonné, si j'ai pardonné, c'est à cause de vous,) en la présence de Christ,

Voici donc ce que je dis et que j'atteste de la part du Seigneur: Ne vous conduisez plus comme le reste des Gentils, qui suivent la vanité de leur esprit;

Et quoi que vous fassiez, en paroles, ou en œuvres, faites tout au nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à Dieu le Père.

Au reste, frères, nous vous prions donc et nous vous conjurons par le Seigneur Jésus, que comme vous avez appris de nous de quelle manière il faut vous conduire pour plaire à Dieu, vous le fassiez toujours plus.

Je te conjure devant Dieu, le Seigneur Jésus-Christ, et les anges élus, d'observer ces choses sans prévention, et de ne rien faire avec partialité.

Je te recommande devant Dieu, qui donne la vie à toutes choses, et devant Jésus-Christ, qui fit une belle confession devant Ponce-Pilate,

De garder le commandement, sans tache et sans reproche, jusqu'à l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ;

Je t'en conjure donc devant Dieu et devant le Seigneur Jésus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, lors de son apparition et de son règne,

Et si quelqu'un n'obéit point à ce que nous disons par cette lettre, notez-le, et n'ayez point de communication avec lui, afin qu'il en ait de la confusion.

Toutefois, ne le regardez pas comme un ennemi, mais avertissez-le comme un frère.

Que s'il ne daigne pas les écouter, dis-le à l'Église; et s'il ne daigne pas écouter l'Église, regarde-le comme un païen et un péager.

Cependant, je vous exhorte, frères, à prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et à vous éloigner d'eux.

Mais ce que je vous ai écrit, c'est que si quelqu'un qui se nomme frère est impudique, ou avare, ou idolâtre, ou médisant, ou ivrogne, ou ravisseur, vous n'ayez pas de relation avec lui, vous ne mangiez pas même avec un tel homme.

Quant à ceux du dehors, Dieu les jugera. Otez donc le méchant du milieu de vous.

Et les vaines discussions de gens qui ont l'esprit corrompu, qui sont privés de la vérité, et qui regardent la piété comme une source de gain. Sépare-toi de ces gens-là.

Ayant l'apparence de la piété, mais en ayant renié la force. Éloigne-toi aussi de ces gens-là.

Veillant à ce que personne ne se prive de la grâce de Dieu; à ce qu'aucune racine d'amertume poussant dehors, ne vous trouble, et que plusieurs n'en soient infectés;

A ce qu'il n'y ait point de fornicateur, ni de profane comme Ésaü, qui, pour un mets, vendit son droit d'aînesse.

C'est pourquoi, si je viens, je lui rappellerai les œuvres qu'il fait, en tenant des discours malins contre nous, et que, ne se contentant pas de cela, il ne reçoit pas lui-même les frères, mais empêche ceux qui veulent le faire, et les chasse de l'Église.

Bien-aimé, imite non le mal, mais le bien. Celui qui fait le bien, est de Dieu; mais celui qui fait le mal, n'a point vu Dieu.

Car vous savez vous-mêmes comment vous devez nous imiter, puisque nous n'avons pas vécu parmi vous dans le désordre,

Cependant nous apprenons que parmi vous quelques-uns vivent dans le désordre, ne travaillent point et s'occupent de choses inutiles.

Et à vous étudier à vivre paisiblement, à vous occuper de vos propres affaires, et à travailler de vos propres mains, comme nous vous l'avons recommandé;

Nous vous en prions aussi, frères, reprenez ceux qui sont déréglés, consolez ceux qui ont le cœur abattu, supportez les faibles, et soyez patients envers tous.

Car aussi, lorsque nous étions chez vous, nous vous déclarions expressément, que si quelqu'un ne veut pas travailler, il ne doit pas non plus manger.

Et si quelqu'un n'obéit point à ce que nous disons par cette lettre, notez-le, et n'ayez point de communication avec lui, afin qu'il en ait de la confusion.

C'est pourquoi, frères, demeurez fermes et retenez les enseignements que nous vous avons donnés, soit de vive voix, soit par notre lettre.