Achète la vérité, et ne la vends point; achète la sagesse, l'instruction et la prudence.

C'est pourquoi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, abondant toujours dans l'œuvre du Seigneur, sachant que votre travail n'est pas vain dans le Seigneur.

Veillez, demeurez fermes dans la foi, agissez courageusement, fortifiez-vous;

Soyez donc fermes, vos reins ceints de la vérité, revêtus de la cuirasse de la justice,

Conduisez-vous seulement d'une manière digne de l'Évangile de Christ, afin que, soit que je vienne vous voir, ou que je sois absent, j'entende dire de vous, que vous persistez, dans un même esprit, à combattre, avec une même âme, pour la foi de l'Évangile, sans vous effrayer en rien des adversaires,

Car nous vivons maintenant, puisque vous demeurez fermes dans le Seigneur.

C'est pourquoi, frères, demeurez fermes et retenez les enseignements que nous vous avons donnés, soit de vive voix, soit par notre lettre.

Mais Christ, comme Fils, est établi sur sa maison; nous sommes sa maison, pourvu que nous conservions jusqu'à la fin la ferme confiance et l'espérance dont nous nous glorifions.

Car nous sommes devenus participants de Christ, pourvu que nous conservions ferme jusqu'à la fin notre première assurance,

Puis donc que nous avons un grand souverain Sacrificateur, qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, retenons ferme notre profession.

Retenons sans fléchir la profession de notre espérance; car celui qui a fait la promesse est fidèle.

Pour nous, nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour se perdre, mais de ceux qui croient pour le salut de leur âme.

Car encore un peu, bien peu de temps, et celui qui vient, arrivera, et il ne tardera point.

N'abandonnez donc pas votre confiance, qui aura une grande rémunération.

Bien-aimés, plein de zèle pour vous écrire touchant notre salut commun, j'ai jugé nécessaire de le faire, pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été donnée une fois aux saints.

Mais vous, bien-aimés, vous édifiant vous-mêmes sur votre très sainte foi, priant par le Saint-Esprit,

Conservez-vous dans l'amour de Dieu, en attendant la miséricorde de notre Seigneur Jésus-Christ pour la vie éternelle.

Mais tenez ferme seulement ce que vous avez, jusqu'à ce que je vienne.

Souviens-toi donc de ce que tu as reçu et entendu, garde-le, et te repens. Que si tu ne veilles pas, je viendrai vers toi comme un larron, et tu ne sauras point à quelle heure je viendrai vers toi.

Frères, vous avez été appelés à la liberté; seulement ne prenez pas prétexte de cette liberté pour vivre selon la chair; mais assujettissez-vous les uns aux autres par la charité.

Et cela à cause des faux frères introduits furtivement, qui s'étaient insinués, pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, afin de nous réduire en servitude;

Or, la foi étant venue, nous ne sommes plus sous ce conducteur.

Mais la Jérusalem d'en haut est libre, et c'est elle qui est la mère de nous tous.

Or, frères, nous sommes les enfants, non de l'esclave, mais de la femme libre.

O Dieu, crée en moi un cœur pur, et renouvelle en moi un esprit droit!

L'Esprit du Seigneur, de l'Éternel, est sur moi; car l'Éternel m'a oint, pour annoncer la bonne nouvelle aux affligés. Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers l'ouverture de la prison;

car mon joug est aisé, et mon fardeau léger.

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai.

Si donc le Fils vous affranchit, vous serez véritablement libres.

Jésus leur répondit: En vérité, en vérité je vous dis, que quiconque s'adonne au péché, est esclave du péché.

Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.

Car le péché ne dominera pas sur vous, parce que vous n'êtes point sous la loi, mais sous la grâce.

Or, ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice.

Si donc, durant la vie de son mari, elle épouse un autre homme, elle sera appelée adultère; mais si son mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère, si elle épouse un autre homme.

Mais maintenant que nous sommes délivrés de la loi, étant morts à celle sous laquelle nous étions retenus, nous servons Dieu dans un esprit nouveau, et non selon la lettre, qui a vieilli.

Parce que la loi de l'Esprit de vie, qui est en Jésus-Christ, m'a affranchi de la loi du péché et de la mort.

Car l'esclave qui a été appelé par le Seigneur, est l'affranchi du Seigneur; de même aussi, l'homme libre qui a été appelé, est l'esclave de Christ.

Or, le Seigneur est l'Esprit; et où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté.

Comme étant libres, non pour vous servir de la liberté comme d'un voile pour la malice; mais comme des serviteurs de Dieu.

Leur promettant la liberté, quoiqu'ils soient eux-mêmes esclaves de la corruption; car on devient esclave de celui par lequel on est vaincu.

Et cela à cause des faux frères introduits furtivement, qui s'étaient insinués, pour épier la liberté que nous avons en Jésus-Christ, afin de nous réduire en servitude;

Et maintenant que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous encore à ces faibles et misérables rudiments, auxquels vous voulez vous assujettir de nouveau?

Car ils lient des fardeaux pesants et insupportables, et les mettent sur les épaules des hommes; mais ils ne veulent pas les remuer du doigt.

Maintenant donc, pourquoi tentez-vous Dieu, en imposant aux disciples un joug que ni nos pères ni nous n'avons eu la force de porter?

(Préceptes qui sont tous pernicieux par leurs abus) suivant les ordonnances et les doctrines des hommes,

Si donc vous êtes morts avec Christ, quant aux rudiments du monde, pourquoi vous charge-t-on de ces préceptes, comme si vous viviez encore au monde?

Que personne ne vous ravisse le prix par une humilité affectée, et par le culte des anges, s'ingérant dans des choses qu'il n'a point vues, étant témérairement enflé de son sens charnel, et ne s'attachant pas au chef,

Que personne donc ne vous condamne au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d'un jour de fête, ou de nouvelle lune, ou de sabbats;

Mais Christ, étant venu comme souverain Sacrificateur des biens à venir, ayant passé par un tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'a point été fait de main d'homme, c'est-à-dire, qui n'est point de cette création,

Pendant lequel on offre des dons et des sacrifices, qui ne peuvent rendre parfait quant à la conscience celui qui fait le service,