Pour moi, je sais que mon Rédempteur est vivant, qu'à la fin il se lèvera sur la terre,

Et qu'après cette peau qui se détruit, et hors de ma chair, je verrai Dieu;

Tu comptes mes allées et mes venues; mets mes larmes dans tes vaisseaux; ne sont-elles pas dans ton livre?

C'est pour cela aussi que je souffre ces choses; mais je n'en ai point honte, car je sais en qui j'ai cru, et je suis persuadé que par sa puissance il gardera mon dépôt jusqu'à ce jour-là.

Bien-aimés, nous sommes à présent enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté; mais nous savons que quand il sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est.

Quand nous aimons nos frères, nous connaissons que nous sommes passés de la mort à la vie. Celui qui n'aime pas son frère demeure dans la mort.

Car c'est en cela que nous connaissons que nous sommes de la vérité, et que nous assurerons nos cœurs devant lui;

Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est plongé dans le mal.

Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C'est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle.

Car nous qui sommes dans cette tente, nous gémissons sous le poids, parce que nous souhaitons, non d'être dépouillés, mais d'être revêtus, afin que ce qui est mortel soit absorbé par la vie.

Or, nous avons ce trésor dans des vases de terre, afin que l'excellence de la puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.

Tu mangeras le pain à la sueur de ton visage, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.

Combien plus chez ceux qui habitent des maisons d'argile, qui ont leurs fondements dans la poussière, qu'on écrase comme des vermisseaux!

Or, ce n'est pas ce qui est spirituel, mais ce qui est animal, qui est le premier; ce qui est spirituel vient après.

Tel qu'est le terrestre, tels aussi sont les terrestres; et tel qu'est le céleste, tels aussi sont les célestes.

Et je crois qu'il est juste, aussi longtemps que je suis dans cette tente, de vous réveiller par mes avertissements,

Sachant que je quitterai bientôt cette tente, comme notre Seigneur Jésus-Christ me l'a fait connaître.

Tu m'enlèves, tu me fais chevaucher sur le vent, et tu me fais fondre au bruit de la tempête.

Puis donc que toutes ces choses doivent se dissoudre, quels ne devez-vous pas être par la sainteté de votre conduite et votre piété,

Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père; si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place.

Et quand je serai parti, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et vous prendrai avec moi, afin qu'où je serai, vous y soyez aussi.

Car nous sommes ouvriers avec Dieu; vous êtes le champ de Dieu, l'édifice de Dieu.

Car il attendait la cité qui a des fondements, dont Dieu est l'architecte et le fondateur.

En lui aussi vous avez été circoncis, d'une circoncision faite sans main, en dépouillant le corps des péchés de la chair, ce qui est la circoncision de Christ;

Mais Christ, étant venu comme souverain Sacrificateur des biens à venir, ayant passé par un tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'a point été fait de main d'homme, c'est-à-dire, qui n'est point de cette création,

Car Christ n'est point entré dans un sanctuaire fait de main d'homme, image du véritable, mais dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu.

Pour un héritage incorruptible, sans tache, inaltérable, et réservé dans les cieux pour nous,