Quelque temps après, les Juifs délibérèrent de faire mourir Saul.

Et quand Saul fut arrivé à Jérusalem, il tâchait de se joindre aux disciples; mais tous le craignaient, ne croyant pas qu'il fût un disciple.

Dès lors il allait et venait avec eux à Jérusalem, et parlait ouvertement au nom du Seigneur Jésus;

Les frères l'ayant su, l'emmenèrent à Césarée, et l'envoyèrent à Tarse.

Barnabas s'en alla ensuite à Tarse, pour chercher Saul;

Et l'ayant trouvé, il l'amena à Antioche; et pendant toute une année, ils s'assemblèrent avec l'Église, et instruisirent un grand peuple, et ce fut à Antioche que pour la première fois les disciples furent nommés Chrétiens.

Il y avait dans l'Église d'Antioche quelques prophètes et docteurs, Barnabas, Siméon appelé Niger, Lucius le Cyrénéen, Manahem, élevé avec Hérode le tétrarque, et Saul.

Alors ayant jeûné et prié, ils leur imposèrent les mains, et les firent partir.

Et étant arrivés à Salamine, ils annoncèrent la parole de Dieu dans les synagogues des Juifs, et ils avaient aussi Jean pour les aider.

Qui était avec le proconsul Sergius Paulus, homme intelligent. Celui-ci, ayant fait appeler Barnabas et Saul, désira entendre la parole de Dieu.

Mais Saul, qui est aussi appelé Paul, rempli du Saint-Esprit, et ayant les yeux fixés sur lui, dit:

Et voici, dès maintenant la main du Seigneur est sur toi, et tu seras aveugle, et tu ne verras point le soleil, pour un temps. Et à l'instant, l'obscurité et les ténèbres tombèrent sur lui; et tournant çà et là, il cherchait un guide.

Et Paul et ceux qui étaient avec lui, s'étant embarqués à Paphos, vinrent à Perge en Pamphylie. Mais Jean, s'étant séparé d'eux, revint à Jérusalem.

Une grande contestation et une dispute s'étant donc élevée entre Paul et Barnabas et eux, il fut résolu que Paul et Barnabas, et quelques-uns d'entre eux, monteraient à Jérusalem, auprès des apôtres et des anciens, pour traiter cette question.

Et étant arrivés à Jérusalem, ils furent reçus par l'Église, et les apôtres et les anciens, et ils racontèrent toutes les choses que Dieu avait faites par eux.

Paul arriva à Derbe et à Lystra, et il y avait là un disciple, nommé Timothée, fils d'une femme juive fidèle, et d'un père grec.

Paul voulut qu'il l'accompagnât; et l'ayant pris, il le circoncit, à cause des Juifs qui étaient en ces lieux; car tous savaient que son père était Grec.

Ainsi, les Églises étaient affermies dans la foi, et elles croissaient en nombre de jour en jour.

Et étant venus en Mysie, ils se disposaient à aller en Bithynie; mais l'Esprit ne le leur permit pas.

Et Paul eut une vision pendant la nuit: un homme macédonien se tenait debout et le sollicitait, en disant: Passe en Macédoine, et viens nous secourir.

Étant donc partis de Troas, nous tirâmes droit vers Samothrace, et le lendemain à Néapolis;

Le jour du sabbat nous allâmes hors de la ville, près d'une rivière, où l'on avait accoutumé de faire la prière; et nous étant assis, nous parlions aux femmes qui y étaient assemblées.

Et quand elle eut été baptisée avec sa famille, elle nous fit cette prière: Si vous m'avez jugée fidèle au Seigneur, entrez dans ma maison, et y demeurez; et elle nous y obligea.

Ayant suivi Paul et nous, elle s'écria en disant: Ces hommes sont des serviteurs du Dieu très haut, qui vous annoncent la voie du salut.

Cependant Paul étant encore resté à Corinthe assez longtemps, prit congé des frères, et s'embarqua pour la Syrie avec Priscille et Aquilas; il se fit auparavant couper les cheveux à Cenchrées, à cause d'un vœu qu'il avait fait.

Qui le prièrent de demeurer plus longtemps avec eux; mais il n'y consentit pas.

Étant débarqué à Césarée, il monta à Jérusalem; et après avoir salué l'Église, il descendit à Antioche.

Pendant qu'Apollos était à Corinthe, Paul, après avoir parcouru les hautes provinces de l'Asie, vint à Éphèse. Il y trouva quelques disciples et leur dit:

Après que le tumulte fut apaisé, Paul fit venir les disciples, et leur ayant dit adieu, partit pour aller en Macédoine.

Et quand il y eut demeuré trois mois, les Juifs lui ayant dressé des embûches, lorsqu'il allait s'embarquer pour la Syrie, on fut d'avis qu'il revînt par la Macédoine.

Ceux-ci étant allés devant, nous attendirent à Troas.

Par la vertu des miracles et des prodiges; par la puissance de l'Esprit de Dieu; de sorte que j'ai répandu l'Évangile de Christ depuis Jérusalem et les lieux voisins, jusqu'à l'Illyrie.

Quand je me rendrai en Espagne, j'irai chez vous; car j'espère que je vous verrai en passant, et que vous m'y ferez conduire, après que j'aurai satisfait en partie mon désir d'être avec vous.

Car il a plu à ceux de Macédoine et d'Achaïe de s'imposer une contribution pour les pauvres d'entre les Saints de Jérusalem.

Après donc que j'aurai achevé cela, et que je leur aurai remis fidèlement ce produit, je partirai pour l'Espagne, en passant par chez vous.

Et je ne montai point à Jérusalem vers ceux qui étaient apôtres avant moi; mais je m'en allai en Arabie, et je revins encore à Damas.

Mais je ne vis aucun des autres apôtres, sinon Jacques, le frère du Seigneur.

J'allai ensuite dans les pays de Syrie et de Cilicie;

Quelque temps après, les Juifs délibérèrent de faire mourir Saul.

Mais les disciples, le prenant de nuit, le descendirent par la muraille, dans une corbeille.

Mais les Juifs animèrent quelques femmes dévotes en qualité, et les principaux de la ville, et ils excitèrent une persécution contre Paul et Barnabas, et les chassèrent de leur pays.

Et quand il y eut demeuré trois mois, les Juifs lui ayant dressé des embûches, lorsqu'il allait s'embarquer pour la Syrie, on fut d'avis qu'il revînt par la Macédoine.

Servant le Seigneur en toute humilité, avec beaucoup de larmes et au milieu des épreuves qui me sont survenues par les embûches des Juifs;

En criant: Hommes Israélites, aidez-nous. Voici l'homme qui prêche partout, et devant tous, contre la nation, la loi, et ce lieu-ci; il a même encore amené des Grecs dans le temple, et a profané ce saint lieu.

Et toute la ville fut émue, et il y eut un rassemblement du peuple; et ayant saisi Paul, ils le traînèrent hors du temple; et aussitôt les portes furent fermées.

Lorsqu'il fut jour, quelques Juifs formèrent un complot, et firent des imprécations contre eux-mêmes, en disant qu'ils ne mangeraient ni ne boiraient qu'ils n'eussent tué Paul.

Et ils s'adressèrent aux principaux sacrificateurs et aux Anciens, et leur dirent: Nous nous sommes engagés avec des imprécations contre nous-mêmes, à ne rien manger, que nous n'ayons tué Paul.

Mais le fils de la sœur de Paul, ayant entendu ce complot, vint, et étant entré dans la forteresse, en informa Paul.

Le centurion l'ayant pris, le mena vers le tribun, et lui dit: Le prisonnier Paul, m'ayant appelé, m'a prié de t'amener ce jeune homme, qui a quelque chose à te dire.

Il dit: Les Juifs sont convenus de te prier de faire descendre demain Paul dans le Sanhédrin, comme s'ils voulaient s'informer plus exactement de son affaire.

Le tribun renvoya le jeune homme, après lui avoir recommandé de ne dire à personne qu'il lui eût donné cet avis.

Et le priant, ils lui demandaient contre celui-ci la faveur de le faire venir à Jérusalem, car ils avaient dressé une embûche pour le tuer en chemin.

On nous fit aussi de grands honneurs, et, à notre départ, on nous pourvut de ce qui nous était nécessaire.

Trois mois après, nous nous embarquâmes sur un vaisseau d'Alexandrie, qui avait passé l'hiver dans l'île, et qui portait pour enseigne les Dioscures.

Qui ont même mis à mort le Seigneur Jésus, et leurs propres prophètes, qui nous ont persécutés, qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes;

Qui nous empêchent de parler aux Gentils pour qu'ils soient sauvés, comblant ainsi toujours plus la mesure de leurs péchés; mais la colère de Dieu est venue sur eux pour y mettre un terme.

Car, mes frères, nous ne voulons pas que vous ignoriez l'affliction qui nous est survenue en Asie, c'est que nous avons été accablés excessivement, au-dessus de nos forces, en sorte que nous désespérions même pour notre vie.

Qui nous a délivrés et nous délivre d'une telle mort; et nous avons cette espérance qu'il nous en délivrera encore;

Et comme il se fit une émeute des Gentils et des Juifs, avec leurs principaux chefs, pour outrager les apôtres et pour les lapider,

Alors, des Juifs survinrent d'Antioche et d'Iconium, qui gagnèrent le peuple, et qui, ayant lapidé Paul, le traînèrent hors de la ville, croyant qu'il était mort.

Mais ses maîtres, voyant qu'ils avaient perdu l'espérance de leur gain, se saisirent de Paul et de Silas, et les traînèrent sur la place publique, devant les magistrats.

Ce sont des Juifs, et ils enseignent une manière de vivre qu'il ne nous est pas permis de recevoir, ni de suivre, à nous qui sommes Romains.

Et après leur avoir infligé plusieurs coups, ils les jetèrent en prison et ordonnèrent au geôlier de les garder sûrement.

Or il arriva en ce temps-là un grand trouble à l'occasion de la doctrine.

Les assembla avec ceux qui travaillaient à ces sortes d'ouvrages, et leur dit: O hommes, vous savez que tout notre gain vient de cet ouvrage;

Et il n'y a pas seulement à craindre pour nous que notre métier ne soit décrié, mais même que le temple de la grande Diane ne tombe dans le mépris, et que sa majesté, que toute l'Asie et que le monde entier révère, ne s'anéantisse aussi.

Et toute la ville fut remplie de confusion; et ils coururent tous ensemble au théâtre, entraînant avec eux Gaïus et Aristarque, Macédoniens, compagnons de voyage de Paul.

Et même quelques-uns des Asiarques, qui étaient ses amis, l'envoyèrent prier de ne point se rendre dans le théâtre.

Alors on tira de la foule Alexandre, que les Juifs mettaient en avant; et Alexandre, faisant signe de la main, voulait présenter au peuple leur défense.

Alors le secrétaire, ayant apaisé le peuple, dit: Hommes Éphésiens, quel est donc l'homme qui ne sache que la ville des Éphésiens est la gardienne de la grande déesse Diane, et de son image descendue du ciel?

Car ces gens que vous avez amenés, ne sont ni sacrilèges, ni blasphémateurs de votre déesse.

Et si vous avez quelque autre chose à réclamer, on pourra en décider dans une assemblée légale.

Si j'ai combattu contre les bêtes à Éphèse dans des vues humaines, quel avantage en ai-je? Si les morts ne ressuscitent point, mangeons et buvons, car demain nous mourrons.

A Damas, le gouverneur pour le roi Arétas avait fait garder la ville des Damascéniens, dans l'intention de se saisir de moi;

Mais il fut averti de leur complot. Or, ils gardaient les portes nuit et jour, pour le tuer.

Mais les Juifs incrédules, émus d'envie, prirent avec eux quelques mauvais sujets sur les places publiques; et ayant excité un tumulte, ils troublèrent la ville, et se portant vers la maison de Jason, ils cherchaient Paul et Silas, pour les mener devant le peuple.