Car le péché, prenant occasion du commandement m'a séduit, et par lui m'a fait mourir.

Ce qui est bon m'a-t-il donc donné la mort? Nullement! mais c'est le péché, afin qu'il parût péché, en me donnant la mort par une chose bonne et que le péché devînt excessivement pécheur par le commandement.

Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.

Car la loi produit la colère; en effet, où il n'y a point de loi, il n'y a point de transgression.

Or, la loi est intervenue pour faire abonder le péché; mais où le péché a abondé, la grâce a surabondé,

Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise.

Et après que la convoitise a conçu, elle enfante le péché; et le péché étant consommé, engendre la mort.

Car la loi produit la colère; en effet, où il n'y a point de loi, il n'y a point de transgression.

Si je n'étais pas venu, et que je ne leur eusse pas parlé, ils n'auraient point de péché; mais maintenant ils n'ont point d'excuse pour leur péché.

Si je n'eusse pas fait parmi eux les ouvres qu'aucun autre n'a faites, ils n'auraient point de péché; mais maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon Père.

Or, l'aiguillon de la mort, c'est le péché; et la puissance du péché, c'est la loi.