Lorsqu'il partagera à ses enfants ce qu'il aura, il ne pourra pas faire aîné le fils de celle qui est aimée, à la place du fils né le premier de celle qui est haïe.
Mais il reconnaîtra le fils de celle qui est haïe pour le premier-né, en lui donnant une double portion de tout ce qui se trouvera lui appartenir; car il est les prémices de sa vigueur; le droit d'aînesse lui appartient.
Par ta main, ô Éternel, délivre-la des hommes, des hommes de ce monde, dont le partage est dans cette vie, dont tu remplis le ventre de tes biens; leurs fils sont rassasiés, et ils laissent leurs restes à leurs petits enfants.