Mais le sentier des justes est comme la lumière resplendissante, dont l'éclat augmente jusques à ce que le jour soit dans sa perfection.

On ne fera point de mal, et on ne détruira point, sur toute ma montagne sainte; car la terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel, comme le fond de la mer des eaux qui le couvrent.

Tu enlevas de l'Égypte une vigne; tu chassas des nations et tu la plantas.

Les montagnes se couvraient de son ombre, et les cèdres de Dieu de ses sarments.

Voici, l'Assyrie était un cèdre du Liban aux belles branches, au feuillage touffu, haut de taille et élevant sa cime jusqu'aux nues.

C'est pourquoi sa hauteur dépassait tous les arbres des champs; ses branches avaient multiplié, et ses rameaux s'étendaient, grâce à l'abondance des eaux qui le faisaient croître.

Il était beau dans sa grandeur et par l'étendue de ses branches; car ses racines plongeaient dans des eaux abondantes.

Je l'avais rendu beau par la multitude de ses branches, et tous les arbres d'Éden, qui étaient au jardin de Dieu, lui portaient envie.

Voici quelles étaient les visions de ma tête, sur ma couche: Je regardais, et voici il y avait un arbre au milieu de la terre, et sa hauteur était grande.

Son feuillage était beau et son fruit abondant; il y avait sur lui de la nourriture pour tous; les bêtes des champs se mettaient à l'ombre sous lui, et les oiseaux du ciel se tenaient dans ses branches, et de lui se nourrissait toute chair.

Il cria à haute voix, et parla ainsi: Coupez l'arbre, et l'ébranchez; abattez son feuillage, et dispersez son fruit; que les bêtes fuient de dessous, et les oiseaux du milieu de ses branches!

L'arbre que tu as vu, et qui était devenu grand et fort, dont la cime touchait aux cieux, et qu'on voyait de toute la terre;

C'est toi, ô roi! qui es devenu grand et puissant, dont la grandeur s'est accrue et s'est élevée jusqu'aux cieux, et dont la domination s'étend jusqu'aux extrémités de la terre.

Celui qui habite dans la retraite secrète du Très-Haut repose à l'ombre du Tout-Puissant.

Comme le pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes; j'ai désiré son ombrage, et m'y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais.

Et chacun d'eux sera comme un abri contre le vent et un refuge contre la pluie, comme des ruisseaux d'eau dans une terre aride, comme l'ombre d'un grand rocher dans un pays désolé.

Celui qui nous faisait respirer, l'oint de l'Éternel, a été pris dans leurs fosses; lui de qui nous disions: Nous vivrons sous son ombre parmi les nations.