Comme il était déjà tard, et que c'était le jour de la préparation, c'est-à-dire, la veille du sabbat,

Après le sabbat, à l'aube du premier jour de la semaine, Marie de Magdala et l'autre Marie vinrent pour voir le sépulcre.

Son visage était comme un éclair, et son vêtement blanc comme la neige.

Or l'ange, prenant la parole, dit aux femmes: Pour vous, ne craignez point, car je sais que vous cherchez Jésus le crucifié.

Et partez promptement et dites à ses disciples qu'il est ressuscité des morts; et voici il vous devance en Galilée; là vous le verrez, je vous l'ai dit.

Mais, comme elles allaient pour le leur annoncer, voilà Jésus qui vint au-devant d'elles, en leur disant: Je vous salue. Et elles s'approchèrent, et lui embrassèrent les pieds, et l'adorèrent.

C'était le jour de la préparation, et le sabbat allait commencer.

Et s'en étant retournées, elles préparèrent des aromates et des parfums, et elles se reposèrent le jour du sabbat, selon la loi.

Mais le premier jour de la semaine, elles vinrent de grand matin au sépulcre, apportant les parfums qu'elles avaient préparés; et quelques personnes les accompagnaient.

Et étant entrées, elles ne trouvèrent point le corps du Seigneur Jésus.

Et comme elles étaient effrayées, et qu'elles baissaient le visage contre terre, ils leur dirent: Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant?

Disant: Il faut que le Fils de l'homme soit livré entre les mains des méchants, et qu'il soit crucifié, et qu'il ressuscite le troisième jour.

Et étant revenues du sépulcre, elles racontèrent toutes ces choses aux onze, et à tous les autres.

Mais ce qu'elles leur disaient leur parut une rêverie, et ils ne les crurent point.

Or, les Juifs, de peur que les corps ne demeurassent sur la croix le jour du sabbat (car c'était la préparation, et ce sabbat était un grand jour), demandèrent à Pilate qu'on rompît les jambes aux crucifiés, et qu'on les enlevât.

Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala vint le matin au sépulcre, comme il faisait encore obscur; et elle vit la pierre ôtée du sépulcre.

Alors Pierre sortit avec l'autre disciple, et ils allèrent au sépulcre.

Et s'étant baissé, il vit les bandelettes qui étaient à terre; mais il n'entra point.

Et le suaire qu'on lui avait mis sur la tête, lequel n'était pas avec les autres linges; mais plié dans un endroit à part.

Car ils n'avaient pas encore compris l'Écriture, portant qu'il fallait que Jésus ressuscitât des morts.

Il y avait aussi des femmes qui regardaient de loin, parmi lesquelles étaient Marie de Magdala, et Marie, mère de Jacques le petit et de Joses, et Salomé,

Et Marie de Magdala et Marie, mère de Joses, regardaient où on le mettait.

C'était Marie de Magdala, Jeanne, et Marie, mère de Jacques, et les autres qui étaient avec elles, qui dirent ces choses aux apôtres.

Or, la mère de Jésus, et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléopas, et Marie de Magdala, se tenaient près de la croix de Jésus.

Et Jésus étant à Béthanie, à table, dans la maison de Simon le lépreux, une femme vint à lui avec un vase d'albâtre, plein d'un parfum de nard pur et de grand prix, qu'elle lui répandit sur la tête, ayant rompu le vase.

Elle a fait ce qui était en son pouvoir; elle a embaumé par avance mon corps pour ma sépulture.

Et on l'ensevelit dans le tombeau qu'il s'était creusé dans la cité de David. On le coucha sur un lit qu'il avait rempli de parfums et d'aromates, préparés en ouvrage de parfumerie; et on lui en brûla une quantité très considérable.

Ils prirent donc le corps de Jésus, et l'enveloppèrent de bandes, avec les aromates, comme les Juifs ont coutume d'ensevelir.