Et voici, je vis un tourbillon de vent qui venait du Nord, une grosse nuée, une gerbe de feu qui répandait tout autour son éclat. Au centre brillait comme de l'airain poli sortant du feu.
Et la splendeur qui se voyait autour de lui, était pareille à celle de l'arc qui est dans la nuée en un jour de pluie. Cette vision représentait l'image de la gloire de l'Éternel. A sa vue je tombai sur la face, et j'entendis une voix qui parlait.
Alors la gloire du Dieu d'Israël s'éleva de dessus le chérubin sur lequel elle était, et se dirigea vers le seuil de la maison; elle appela l'homme vêtu de lin, qui portait une écritoire à sa ceinture.
Et il arriva, comme l'assemblée se formait contre Moïse et contre Aaron, qu'ils regardèrent vers le tabernacle d'assignation, et voici, la nuée le couvrit, et la gloire de l'Éternel apparut.
La trentième année, le cinquième jour du quatrième mois, alors que je me trouvais parmi ceux qui avaient été transportés près du fleuve du Kébar, les cieux s'ouvrirent et je vis des visions divines.
2
Le cinquième jour du mois, c'était la cinquième année de la captivité du roi Jéhojakim,
3
La parole de l'Éternel fut adressée à Ézéchiel, le sacrificateur, fils de Buzi, dans le pays des Caldéens, près du fleuve du Kébar. C'est là que la main de l'Éternel fut sur lui.
Et la splendeur qui se voyait autour de lui, était pareille à celle de l'arc qui est dans la nuée en un jour de pluie. Cette vision représentait l'image de la gloire de l'Éternel. A sa vue je tombai sur la face, et j'entendis une voix qui parlait.
Et il vint près du lieu où je me tenais, et, à sa venue, je fus épouvanté et je tombai sur ma face, et il me dit: Comprends, fils de l'homme, car la vision est pour le temps de la fin.
Je restai seul, et je vis cette grande vision, et il ne me resta plus de force. Mon visage changea de couleur et fut tout défait, et je ne conservai aucune force.
Or, quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort, et il mit sa main droite sur moi, en me disant: Ne crains point; c'est moi qui suis le premier et le dernier, celui qui est vivant;
Les vingt-quatre Anciens se prosternaient devant celui qui était assis sur le trône, et ils adoraient celui qui vit aux siècles des siècles et jetaient leurs couronnes devant le trône, en disant:
Et quand il eut pris le livre, les quatre animaux et les vingt-quatre Anciens se prosternèrent devant l'Agneau, ayant chacun des harpes et des coupes d'or pleines de parfums, lesquelles sont les prières des Saints.