Envoyèrent donc chercher Jérémie dans la cour de la prison, et le remirent à Guédalia, fils d'Achikam, fils de Shaphan, pour le conduire dans sa maison; ainsi il demeura au milieu du peuple.

Et comme il ne s'en retournait point: Retourne donc, dit-il, vers Guédalia, fils d'Achikam, fils de Shaphan, que le roi de Babylone a établi sur les villes de Juda, et demeure avec lui parmi le peuple; ou bien, va partout où il te conviendra d'aller. Puis le chef des gardes lui donna des vivres et des présents, et le congédia.

Or tous les chefs des gens de guerre qui étaient dans la campagne, eux et leurs gens, apprirent que le roi de Babylone avait établi Guédalia, fils d'Achikam, gouverneur du pays, et qu'il lui avait confié les hommes, les femmes et les enfants, d'entre les plus pauvres du pays, de ceux qui n'avaient pas été transportés à Babylone.

Et il donna ce commandement au sacrificateur Hilkija, à Achikam, fils de Shaphan, à Acbor, fils de Micaja, à Shaphan, le secrétaire, et à Asaja, serviteur du roi:

Et Hilkija, le sacrificateur, Achikam, Acbor, Shaphan et Asaja, s'en allèrent vers Hulda, la prophétesse, femme de Shallum, le gardien des vêtements, fils de Thikva, fils de Harhas, laquelle habitait à Jérusalem dans le second quartier; et ils lui parlèrent.

Quant au peuple qui était demeuré de reste au pays de Juda et que Nébucadnetsar, roi de Babylone, y avait laissé, il lui donna pour gouverneur Guédalia, fils d'Achikam, fils de Shaphan.

Et il donna cet ordre à Hilkija, à Achikam, fils de Shaphan, à Abdon, fils de Mica, à Shaphan, le secrétaire, et à Asaja, serviteur du roi, en disant:

Car voici, je t'établis aujourd'hui comme une ville forte, comme une colonne de fer, et comme une muraille d'airain contre tout le pays: contre les rois de Juda, contre ses chefs, contre ses sacrificateurs et contre le peuple du pays.

Ils combattront contre toi, mais ne pourront te vaincre; car je suis avec toi, dit l'Éternel, pour te délivrer.

Tu sais tout, ô Éternel! Souviens-toi de moi, visite-moi, venge-moi de mes persécuteurs! Ne m'enlève pas, en différant ta colère; reconnais que je souffre l'opprobre pour toi!

Je ne me suis point assis dans l'assemblée des moqueurs, pour m'y réjouir; mais, à cause de ta main, je me suis assis solitaire, car tu me remplissais d'indignation.

C'est pourquoi ainsi a dit l'Éternel: Si tu reviens, je te ramènerai: tu te tiendras devant moi; et si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil, tu seras ma bouche; ils se tourneront vers toi, et tu ne te tourneras pas vers eux.

Et je te délivrerai de la main des méchants, et te rachèterai de la main des violents.

Quand Jésabel exterminait les prophètes de l'Éternel, Abdias prit cent prophètes et les cacha, cinquante dans une caverne et cinquante dans une autre, et les y nourrit de pain et d'eau. )

Car il sortira de Jérusalem quelque reste, et de la montagne de Sion quelques réchappés. La jalousie de l'Éternel des armées fera cela.

C'est pourquoi, ainsi a dit l'Éternel touchant le roi d'Assyrie: Il n'entrera pas dans cette ville, il n'y jettera point de flèche, il ne lui présentera point le bouclier et n'élèvera point de terrasse contre elle.

Et comme une grande dispute s'était engagée, le tribun, craignant que Paul ne fût mis en pièces par eux, commanda que les soldats descendissent, pour l'enlever du milieu d'eux, et le conduire dans la forteresse.

Il dit: Les Juifs sont convenus de te prier de faire descendre demain Paul dans le Sanhédrin, comme s'ils voulaient s'informer plus exactement de son affaire.

Le tribun renvoya le jeune homme, après lui avoir recommandé de ne dire à personne qu'il lui eût donné cet avis.

Préparez aussi des montures, afin de faire monter Paul, et de le conduire en sûreté au gouverneur Félix.

Claude Lysias, au très excellent gouverneur Félix, salut!

Or, voulant savoir le motif pour lequel ils l'accusaient, je l'ai fait descendre dans leur Sanhédrin.

Et comme on m'a dénoncé des embûches que les Juifs lui avaient dressées, je te l'ai aussitôt envoyé, en ordonnant à ses accusateurs de dire devant toi ce qu'ils ont contre lui. Adieu.

Et le lendemain, ayant laissé les cavaliers aller avec lui, ils s'en retournèrent à la forteresse.

Et le gouverneur l'ayant lue, demanda de quelle province était Paul; et ayant appris qu'il était de Cilicie,

Et le priant, ils lui demandaient contre celui-ci la faveur de le faire venir à Jérusalem, car ils avaient dressé une embûche pour le tuer en chemin.

Mais Festus répondit que Paul était bien gardé à Césarée, et que lui-même devait y aller bientôt.

Mais le centenier, voulant sauver Paul, les détourna de ce dessein, et ordonna à tous ceux qui savaient nager de se jeter à l'eau les premiers, et de se sauver à terre;

Mais la terre secourut la femme, et la terre ouvrit son sein et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa gueule.