Tu as accru la nation, Éternel, tu as accru la nation; tu t'es glorifié, tu as reculé toutes les limites du pays!

Et Nébuzar-Adan, capitaine des gardes, transporta le reste du peuple, ceux qui étaient demeurés de reste dans la ville, ceux qui venaient se rendre au roi de Babylone, et le reste de la multitude.

Et le roi de Babylone les frappa, et les fit mourir à Ribla, au pays de Hamath. Ainsi Juda fut transporté hors de son pays.

Et je les livrerai pour être agités à tous les royaumes de la terre, à cause de Manassé, fils d'Ézéchias, roi de Juda, et de tout ce qu'il a fait dans Jérusalem.

C'est ici le peuple que Nébucadnetsar emmena en captivité: La septième année, trois mille vingt-trois Juifs.

La vingt-troisième année de Nébucadnetsar, Nébuzar-Adan, capitaine des gardes, transporta sept cent quarante-cinq personnes des Juifs. Toutes ces personnes furent donc quatre mille six cents.

Au bruit des cavaliers et des tireurs d'arc toutes les villes prennent la fuite; ils entrent dans les bois, montent sur les rochers; toutes les villes sont abandonnées, il n'y reste plus d'habitants.

J'ai abandonné ma maison; j'ai délaissé mon héritage; j'ai livré ce que mon âme aimait, aux mains de ses ennemis.

Pourquoi nous oublierais-tu à jamais, pourquoi nous abandonnerais-tu si longtemps?

Je demande donc: Dieu a-t-il rejeté son peuple? Nullement; car je suis moi-même Israélite, de la postérité d'Abraham, de la tribu de Benjamin.

Dieu n'a point rejeté son peuple qu'il a connu d'avance. Ne savez-vous pas ce que l'Écriture rapporte d'Élie, comment il adressa à Dieu cette plainte contre Israël:

Car, si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur rappel, sinon une résurrection des morts?