Mais le roi me dit: Pourquoi as-tu mauvais visage, puisque tu n'es point malade? Cela ne vient que de quelque tristesse de cœur. Alors je craignis fort;

Et le roi me dit: Que me demandes-tu? Alors je priai le Dieu des cieux;

Méprisé, délaissé des hommes, homme de douleurs et connaissant la souffrance; comme un homme devant qui on se couvre le visage; si méprisé que nous n'en faisions aucun cas.

Cependant il a porté nos maladies, et il s'est chargé de nos douleurs; et nous, nous pensions qu'il était frappé de Dieu, battu et affligé.

Puis Jésus, étant venu à la maison de Pierre, vit sa belle-mère couchée au lit et ayant la fièvre.

Sur le soir, on lui présenta plusieurs démoniaques, dont il chassa les mauvais esprits par sa parole; il guérit aussi tous ceux qui étaient malades;

Étant arrivé à la maison du chef de la synagogue, il vit qu'on y faisait un grand bruit, et des gens qui pleuraient et qui jetaient de grands cris.

Et ils se moquaient de lui; mais les ayant tous fait sortir, il prit le père et la mère de l'enfant, et ceux qui étaient avec lui, et il entra dans le lieu où elle était couchée.

Aussitôt la petite fille se leva et se mit à marcher, car elle était âgée de douze ans. Et ils en furent dans un grand ravissement.

Et comme il approchait de la porte de la ville, voici on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve, et il y avait avec elle un grand nombre de gens de la ville.

Et le Seigneur l'ayant vue, fut touché de compassion pour elle, et lui dit: Ne pleure point.

Alors les Juifs qui étaient avec Marie dans la maison, et qui la consolaient, voyant qu'elle s'était levée promptement, et qu'elle était sortie, la suivirent, en disant: Elle va au sépulcre, pour y pleurer.

Quand Jésus vit qu'elle pleurait, et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi, il frémit en son esprit, et fut ému;

Et Jésus pleura.

Alors Abigaïl revint vers Nabal, et voici, il faisait un festin dans sa maison, comme un festin de roi; et Nabal avait le cœur joyeux, et était entièrement ivre; et elle ne lui dit pas la moindre chose jusqu'au lendemain matin.

Et il le conduisit; et voici, ils étaient dispersés sur toute la contrée, mangeant, buvant et dansant, à cause du grand butin qu'ils avaient enlevé au pays des Philistins et au pays de Juda.

Or, Absalom donna ordre à ses serviteurs, et leur dit: Prenez garde, quand le cœur d'Amnon sera égayé par le vin, et que je vous dirai: Frappez Amnon! alors tuez-le, ne craignez point; n'est-ce pas moi qui vous le commande? Fortifiez-vous et soyez vaillants.

Et ils sortirent en plein midi, lorsque Ben-Hadad buvait et s'enivrait dans les tentes, lui et les trente-deux rois ses auxiliaires.

Mon cœur est troublé; la terreur me saisit; la nuit de mes plaisirs est changée en nuit d'épouvante.

Quand ils seront échauffés, je leur présenterai à boire; je les enivrerai, pour qu'ils se réjouissent, et s'endorment d'un sommeil éternel, et ne se réveillent plus, dit l'Éternel.

J'enivrerai ses princes et ses sages, ses gouverneurs, ses magistrats et ses hommes de guerre; ils s'endormiront d'un sommeil éternel et ne se réveilleront plus, dit le Roi, dont le nom est l'Éternel des armées.

Le roi Belshatsar donna un grand festin à ses mille grands seigneurs, et en présence de ces mille il but du vin.

Alors on apporta les vases d'or qui avaient été enlevés du temple, de la maison de Dieu, à Jérusalem; et le roi et ses grands, ses femmes et ses concubines y burent.

Au jour de notre roi, les chefs se rendent malades par l'ardeur du vin; le roi tend la main aux moqueurs.

Car, fussent-ils entrelacés comme des épines et comme ivres de leur vin, ils seront consumés comme de la paille sèche, entièrement.

Mais un jour propice arriva. Hérode, à l'occasion du jour de sa naissance, donna un festin aux grands de sa cour, aux officiers de ses troupes et aux principaux de la Galilée.

Et il ajouta avec serment: Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, jusqu'à la moitié de mon royaume.

Et étant revenue en toute hâte vers le roi, elle fit sa demande, et dit: Je veux que tu me donnes à l'instant, dans un bassin, la tête de Jean-Baptiste.

Et il envoya aussitôt un de ses gardes, et lui commanda d'apporter la tête de Jean.

Et les disciples de Jean l'ayant appris, vinrent et emportèrent son corps, et le mirent dans un sépulcre.