Méphibosheth, fils de Saül, descendit aussi à la rencontre du roi. Il n'avait point lavé ses pieds, ni fait sa barbe, ni lavé ses habits, depuis que le roi s'en était allé jusqu'au jour qu'il revint en paix.

Car, bien que tous ceux de la maison de mon père aient mérité la mort de la part du roi mon seigneur, cependant tu as mis ton serviteur parmi ceux qui mangeaient à ta table. Et quel droit ai-je encore? Qu'ai-je encore à me plaindre auprès du roi?

Or le roi épargna Méphibosheth, fils de Jonathan, fils de Saül, à cause du serment qu'avaient fait entre eux, devant l'Éternel, David et Jonathan, fils de Saül.

Et le roi Roboam consulta les vieillards qui avaient été auprès de Salomon, son père, pendant sa vie, et il leur dit: Quelle réponse me conseillez-vous de faire à ce peuple?

Mais il ne suivit pas le conseil que les vieillards lui avaient donné; et il consulta les jeunes gens qui avaient grandi avec lui et qui se tenaient devant lui;

Ainsi le roi Joas ne se souvint point de la bonté dont Jéhojada, père de Zacharie, avait usé envers lui; et il tua son fils, qui dit en mourant: L'Éternel le voit, et il en demandera compte!

Mais toi, Israël, mon serviteur; toi Jacob, que j'ai élu; race d'Abraham, qui m'a aimé;

Ne crains point, car je suis avec toi; ne sois point éperdu, car je suis ton Dieu! Je te fortifie, je t'aide, et je te maintiens par la droite de ma justice.

Ainsi a dit l'Éternel: Quelle injustice vos pères ont-ils trouvée en moi, qu'ils se soient éloignés de moi, pour marcher après la vanité et devenir vains?

Tous les frères du pauvre le haïssent; combien plus ses amis se retireront-ils de lui! Il les presse de ses paroles: ils ne sont plus là!

C'est ainsi que vous me manquez à présent; vous voyez une chose terrible, et vous en avez horreur!

Délivrez-moi de la main de l'ennemi, et rachetez-moi de la main des violents? "

Ne considère pas avec joie le jour de ton frère, le jour de son infortune; ne te réjouis pas sur les enfants de Juda, au jour de leur ruine, et n'ouvre pas une grande bouche au jour de la détresse.

Ne te tiens pas aux passages pour exterminer ses fugitifs, et ne livre pas ses réchappés au jour de la détresse.

L'intime ami aime en tout temps, et il naîtra comme un frère dans la détresse.

Celui qui a beaucoup de compagnons les a pour son malheur; mais il y a tel ami plus attaché qu'un frère.

Et Jésus, reprenant la parole, dit: Un homme descendit de Jérusalem à Jérico, et tomba entre les mains des brigands, qui le dépouillèrent; et après l'avoir blessé de plusieurs coups, ils s'en allèrent, le laissant à demi mort.

Un lévite étant aussi venu dans le même endroit, et le voyant, passa outre.

Et s'approchant, il banda ses plaies, et il y versa de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa monture, et le mena à une hôtellerie, et prit soin de lui.

Lequel donc de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui est tombé entre les mains des voleurs?

Lorsqu'il fut jour, quelques Juifs formèrent un complot, et firent des imprécations contre eux-mêmes, en disant qu'ils ne mangeraient ni ne boiraient qu'ils n'eussent tué Paul.

Et ayant appelé deux des centeniers, il leur dit: Tenez prêts deux cents soldats, soixante et dix cavaliers et deux cents archers, pour aller jusqu'à Césarée dès la troisième heure de la nuit.

Il écrivit une lettre, ainsi conçue:

Les Juifs s'étaient saisis de cet homme et allaient le tuer, lorsque survenant avec la garnison, je l'ai tiré de leurs mains, ayant appris qu'il était Romain.

Et j'ai trouvé qu'il est accusé sur des questions de leur loi, mais qu'il n'est chargé d'aucun crime qui mérite la mort ou la prison.

Les soldats prirent donc Paul, selon l'ordre qu'ils avaient reçu, et le menèrent de nuit à Antipatris.

Les cavaliers étant arrivés à Césarée, et ayant remis la lettre au gouverneur, lui présentèrent aussi Paul.

Il lui dit: Je t'entendrai quand tes accusateurs seront venus. Et il ordonna qu'on le gardât dans le prétoire d'Hérode.