Puis Pharaon dit à Joseph: Regarde, je t'établis sur tout le pays d'Égypte.

Et Pharaon dit à Joseph: Puisque Dieu t'a fait connaître tout ceci, nul n'est entendu, ni sage autant que toi.

Et l'Éternel envoya un ange, qui extermina tous les vaillants hommes, les princes et les chefs dans le camp du roi d'Assyrie, en sorte qu'il s'en retourna confus en son pays. Et, comme il était entré dans la maison de son dieu, ceux qui étaient sortis de ces entrailles, le firent tomber là par l'épée.

Les lettres qui furent écrites portaient qu'on publierait l'ordonnance dans chaque province, et qu'on la notifierait publiquement à tous les peuples, afin qu'on fût prêt pour ce jour-là.

Au treizième jour du premier mois, on appela donc les secrétaires du roi; et on écrivit aux satrapes du roi, comme Haman l'ordonna, aux gouverneurs de chaque province, et aux principaux de chaque peuple, à chaque province selon sa façon d'écrire, et à chaque peuple selon sa langue; tout fut écrit au nom du roi Assuérus, et scellé de l'anneau du roi.

Alors le roi tira son anneau de sa main, et le donna à Haman, fils d'Hammédatha, l'Agagien, qui opprimait les Juifs.

Alors Haman dit au roi Assuérus: Il y a un peuple dispersé parmi les peuples, par toutes les provinces de ton royaume, et qui, toutefois, se tient à part, dont les lois sont différentes de celles de tous les peuples, et qui n'observe point les lois du roi. Il n'est pas expédient au roi de le laisser en repos.

Les Juifs qui étaient à Suse, s'assemblèrent donc encore au quatorzième jour du mois d'Adar, et ils tuèrent à Suse trois cents hommes; mais ils ne mirent point la main au pillage.

Esther répondit: Si le roi le trouve bon, qu'il soit permis demain encore, aux Juifs qui sont à Suse, de faire selon l'édit d'aujourd'hui, et qu'on pende au gibet les dix fils d'Haman.

En ce jour-là, on rapporta au roi le nombre de ceux qui avaient été tués dans Suse, la capitale.

Parmashtha, Arisaï, Aridaï et Vajézatha,

Ils tuèrent Parshandatha, Dalphon, Aspatha,

Les Juifs frappèrent donc tous leurs ennemis à coups d'épée; ce fut un massacre et une extermination; ils disposèrent à leur volonté de ceux qui les haïssaient.

Et tous les chefs des provinces, les satrapes, les gouverneurs, et ceux qui faisaient les affaires du roi, soutenaient les Juifs, parce que la crainte qu'on avait de Mardochée les avait saisis.

Au douzième mois, qui est le mois d'Adar, au treizième jour du mois, auquel la parole du roi et son édit devaient être exécutés, au jour où les ennemis des Juifs espéraient en être les maîtres, le contraire arriva, et les Juifs furent maîtres de ceux qui les haïssaient.