Quand un homme frappera son serviteur, ou sa servante, avec le bâton, et qu'ils mourront sous sa main, il ne manquera pas d'être puni.

Tu ne pervertiras point le droit; tu n'auras point égard à l'apparence des personnes; et tu ne prendras pas de présent; car le présent aveugle les yeux des sages, et trouble les paroles des justes.

Et pourtant notre chair est comme la chair de nos frères, et nos fils sont comme leurs fils. Et voici, nous assujettissons nos fils et nos filles pour être esclaves; et déjà quelques-unes de nos filles sont assujetties; et nous n'y pouvons rien, car nos champs et nos vignes sont à d'autres.

Si j'ai méprisé le droit de mon serviteur ou de ma servante, quand ils ont eu des contestations avec moi,

Celui qui m'a fait dans le sein de ma mère, ne l'a-t-il pas fait aussi? Un même créateur ne nous a-t-il pas formés dans le sein maternel?

Chantez à l'Éternel qui habite en Sion; annoncez parmi les peuples ses hauts faits!

Tu l'as vu! Car tu regardes le tourment et la peine, pour en tenir compte; c'est sur toi que se repose le malheureux, tu es le secours de l'orphelin.

Pour faire droit à l'orphelin et à l'opprimé; afin que sur la terre l'homme ne continue plus à répandre l'effroi.

Car il délivrera le pauvre qui crie, et l'affligé qui est sans aide.

Il rachètera leur âme de l'oppression et de la violence, et leur sang sera précieux devant ses yeux.

Ne pille point le pauvre, parce qu'il est pauvre, et n'opprime point l'affligé à la porte.

Car l'Éternel plaidera leur cause, et pillera l'âme de ceux qui les auront pillés.

Et vous, maîtres, agissez de même envers eux, et laissez les menaces, sachant que vous avez, comme eux, un Maître dans le ciel, et que, devant lui, il n'y a point d'acception de personnes.

Maîtres, accordez à vos serviteurs ce qui est juste et équitable, sachant que vous avez, vous aussi, un Maître dans les cieux.