Au maître-chantre. Mictam (cantique) de David; Al-Thascheth (ne détruis pas).

Au maître-chantre. Mictam (cantique) de David; Al-Thascheth (ne détruis pas); quand Saül envoya garder la maison pour le tuer.

Maskil (cantique) de David, lorsqu'il était dans la caverne; prière.

Or, David partit de là, et se sauva dans la caverne d'Adullam; et ses frères et toute la maison de son père l'apprirent, et descendirent là vers lui.

Alors Saül prit trois mille hommes, choisis de tout Israël, et s'en alla chercher David et ses gens, jusque sur les rochers des chamois.

Et David arrêta ses gens par ces paroles, et il ne leur permit point de s'élever contre Saül. Puis Saül se leva de la caverne, et continua son chemin.

Au maître-chantre. Mictam (cantique) de David, sur Jonath-Élem Réchokim (colombe des térébinthes lointains); lorsque les Philistins le prirent dans Gath.

Ceux qui sont assis à la porte s'entretiennent de moi; les buveurs de boissons fortes font de moi le sujet de leurs chansons.

Tire-moi du bourbier, et que je n'enfonce pas; que je sois délivré de mes ennemis et des eaux profondes!

Oh! que ta bonté me console, comme tu l'as promis à ton serviteur.

Que tes compassions viennent sur moi, et je vivrai; car ta loi fait mon plaisir.

L'Éternel sera le refuge de l'opprimé, son refuge au temps de la détresse.

De peur que mon ennemi ne dise: J'ai eu le dessus; que mes adversaires ne se réjouissent, si j'étais ébranlé.

Cantique de Maaloth. Ceux qui se confient en l'Éternel sont comme la montagne de Sion, qui ne peut être ébranlée, et qui subsiste à toujours.

Qui d'entre vous craint l'Éternel, qui écoute la voix de son serviteur? Que celui qui marche dans les ténèbres, et qui n'a point de lumière, se confie au nom de l'Éternel, et qu'il s'appuie sur son Dieu.

Rends admirables tes bontés, ô toi, dont la droite délivre de leurs adversaires ceux qui se retirent vers toi!

Garde-moi comme la prunelle de l'œil; couvre-moi sous l'ombre de tes ailes,

Ta justice est comme les montagnes de Dieu; tes jugements sont un grand abîme. Éternel, tu conserves les hommes et les bêtes.

Car tu as été mon refuge, ma forte tour devant l'ennemi.

Quand je me souviens de toi sur mon lit, et que je médite sur toi pendant les veilles de la nuit.

Celui qui habite dans la retraite secrète du Très-Haut repose à l'ombre du Tout-Puissant.

Il te couvrira de ses plumes, et tu auras retraite sous ses ailes; sa vérité sera ton bouclier et ton écu.

Car tu es mon refuge, ô Éternel! Tu as pris le Très-Haut pour ton asile.

Que l'Éternel te rende ce que tu as fait! et que ta récompense soit entière de la part de l'Éternel, le Dieu d'Israël, sous les ailes duquel tu es venue te réfugier!

Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois j'ai voulu rassembler tes enfants, comme la poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu!

Car encore un peu de temps, et l'indignation prendra fin, et ma colère viendra contre eux pour les détruire.

Va, mon peuple, entre dans tes chambres, et ferme les portes derrière toi. Cache-toi pour un petit moment, jusqu'à ce que l'indignation soit passée.

Que si ces jours-là n'avaient pas été abrégés, aucune chair n'eût échappé; mais à cause des élus ils seront abrégés.

En vérité, en vérité je vous dis, que vous pleurerez, et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira; vous serez dans la tristesse; mais votre tristesse sera changée en joie.

Mes frères, prenez pour modèle de souffrance et de patience les prophètes qui ont parlé au nom du Seigneur.

Voici, nous regardons comme heureux ceux qui ont souffert avec constance; vous avez entendu parler de la constance de Job, et vous connaissez la fin que le Seigneur lui accorda; car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion.

Et je lui dis: Seigneur, tu le sais. Et il me dit: Ce sont ceux qui sont venus de la grande tribulation, et qui ont lavé leurs robes, et ont blanchi leurs robes dans le sang de l'Agneau.

Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus. Il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni travail; car les premières choses sont passées.