Caches-tu ta face? ils sont éperdus; retires-tu leur souffle? ils expirent, et retournent en leur poussière.

Et l'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, et souffla dans ses narines une respiration de vie; et l'homme devint une âme vivante.

Et moi, voici, je vais amener le déluge d'eaux sur la terre, pour détruire toute chair qui a souffle de vie, de dessous les cieux; tout ce qui est sur la terre, expirera.

Mais quand l'homme meurt, il reste gisant; quand l'homme a expiré, où est-il?

Mon souffle se perd; mes jours s'éteignent; le tombeau m'attend!

Tant qu'un souffle me restera, tant que l'esprit de Dieu sera dans mes narines,

Mais tu t'es élevé contre le Seigneur des cieux, et on a apporté les vases de sa maison devant toi, et vous y avez bu du vin, toi et tes grands, tes femmes et tes concubines, et tu as loué les dieux d'argent, d'or, d'airain, de fer, de bois et de pierre, qui ne voient, ni n'entendent, ni ne connaissent, et tu n'as pas glorifié le Dieu qui a dans sa main ton souffle et toutes tes voies.

Tu fais retourner l'homme à la poussière; et tu dis: Fils des hommes, retournez!

Tu mangeras le pain à la sueur de ton visage, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.

Et que l'on craindra ce qui est élevé, qu'on aura des terreurs en marchant, que l'amandier fleurira, que la sauterelle deviendra pesante, et que l'appétit manquera; car l'homme s'en va vers sa demeure éternelle, et ceux qui pleurent feront le tour des rues;

Que ses fils soient honorés, il n'en saura rien; qu'ils soient méprisés, il ne le verra pas.

Mes jours sont passés; mes desseins, chers à mon cœur, sont renversés.

Cessez de compter sur l'homme, qui n'a qu'un souffle dans ses narines; car quel cas peut-on faire de lui?

Celui qui nous faisait respirer, l'oint de l'Éternel, a été pris dans leurs fosses; lui de qui nous disions: Nous vivrons sous son ombre parmi les nations.

Or, nous prêchons la sagesse parmi les parfaits, une sagesse, non de ce monde, ni des princes de ce monde, qui sont impuissants;