Or, il arriva, longtemps après, que le roi d'Égypte mourut; et les enfants d'Israël, qui gémissaient à cause de la servitude, crièrent, et le cri de leur servitude monta vers Dieu.

Or, maintenant, allez, travaillez; et l'on ne vous donnera point de paille; et vous fournirez la même quantité de briques.

Les commissaires des enfants d'Israël se virent donc dans la peine, parce qu'on leur dit: Vous ne retrancherez rien de vos briques; chaque jour, la quantité fixée.

Et ils ôtèrent du milieu d'eux les dieux des étrangers, et ils servirent l'Éternel, qui fut touché en son cœur de l'affliction d'Israël.

Et le peuple, les chefs de Galaad, se dirent l'un à l'autre: Quel est l'homme qui commencera à combattre contre les enfants d'Ammon? Il sera le chef de tous les habitants de Galaad.

Les Philistins le saisirent donc, et lui crevèrent les yeux. Ils le firent descendre à Gaza, et le lièrent de deux chaînes d'airain; et il tournait la meule dans la prison.

Et il dit: Que je meure avec les Philistins! Puis il s'étendit de toute sa force, et la maison tomba sur les princes et sur tout le peuple qui y était. Et il fit mourir beaucoup plus de gens dans sa mort, qu'il n'en avait fait mourir pendant sa vie.

Et il rapporte en abondance pour les rois que tu as établis sur nous, à cause de nos péchés, et qui dominent sur nos corps et sur nos bêtes, à leur volonté, en sorte que nous sommes dans une grande détresse!

Ces deux choses te sont arrivées, et qui te plaindra? la dévastation et la ruine, la famine et l'épée. Comment te consolerai-je?

Tes enfants sont défaillants, couchés à tous les carrefours des rues, comme un cerf dans un filet, chargés de la colère de l'Éternel et de l'indignation de ton Dieu.

Et je le mettrai dans la main de tes oppresseurs, de ceux qui disaient à ton âme: Prosterne-toi pour que nous passions! Et tu faisais de ton dos comme une terre, et comme une rue pour les passants.

Et maintenant qu'ai-je à faire ici, dit l'Éternel, quand mon peuple a été enlevé pour rien? Ceux qui dominent sur lui poussent des cris, dit l'Éternel, et chaque jour, mon nom est continuellement outragé.

Le joug sur le cou, nous souffrons la persécution; nous sommes épuisés, nous n'avons point de repos.

Nous avons tendu la main vers l'Égypte et vers l'Assyrie, pour nous rassasier de pain.

Après qu'il eut tout dépensé, il survint une grande famine dans ce pays; et il commença à être dans l'indigence.

Et il eût bien voulu se rassasier des carouges que les pourceaux mangeaient; mais personne ne lui en donnait.

Car tu m'as ceint de force pour le combat, tu fais plier sous moi mes adversaires.

Tu fais tourner le dos à mes ennemis devant moi; ceux qui me haïssaient, je les détruis.

J'ai été remis en tes mains dès ma naissance; dès le sein de ma mère tu es mon Dieu.

Quand mon esprit est abattu en moi, toi, tu connais mon sentier. Ils m'ont caché un piège dans le chemin où je marchais.

Et, comme le roi d'Israël passait sur la muraille, une femme lui cria et lui dit: O roi, mon seigneur, secours-moi!

Et il dit: Si l'Éternel ne te secourt pas, d'où te secourrais-je? Serait-ce de l'aire ou du pressoir?

Comme il leur parlait encore, voici, le messager descendit vers lui, et dit: Voici, ce mal vient de l'Éternel; qu'ai-je plus à attendre de l'Éternel?

Dieu ne revient pas sur sa colère; sous lui sont abattus les plus puissants rebelles.

J'ai regardé, et il n'y avait point d'aide; je me suis étonné, et point de soutien! Alors mon bras m'a sauvé, et mon courroux m'a soutenu.