Et il arriva au mois de Nisan, la vingtième année du roi Artaxerxès, comme le vin était devant lui, que je pris le vin et le présentai au roi. Or, devant lui, je n'étais jamais triste.

Or, je n'étais point à Jérusalem pendant tout cela; car, la trente-deuxième année d'Artaxerxès, roi de Babylone, j'étais retourné auprès du roi; et au bout de quelque temps je demandai un congé au roi.

N'avons-nous pas le droit de manger et de boire?

Ou, n'y a-t-il que moi seul et Barnabas, qui n'ayons pas le droit de ne point travailler?

Dis-je ceci selon la coutume des hommes? La loi ne le dit-elle pas aussi?

Ou n'est-ce pas réellement pour nous qu'il a dit cela? C'est pour nous qu'il a écrit que celui qui laboure, doit labourer avec espérance, et celui qui foule le grain, le fouler avec espérance d'avoir part à ce qu'il espère.

Si d'autres usent de ce droit sur vous, n'en userions-nous pas plutôt? Cependant, nous n'avons point usé de ce droit, au contraire, nous souffrons tout, afin de n'apporter aucun obstacle à l'Évangile de Christ.

De même aussi, le Seigneur a ordonné à ceux qui annoncent l'Évangile, de vivre de l'Évangile.

Et que nous n'avons mangé gratuitement le pain de personne, mais que nous avons été dans la fatigue et la peine, travaillant nuit et jour, pour n'être à charge à aucun de vous.

Ce n'est pas que nous n'en eussions le droit, mais c'est pour vous donner en nous-mêmes un exemple à imiter.

Maintenant, que le roi sache que si cette ville est rebâtie et ses murailles relevées, on ne paiera plus de tribut, ni d'impôts, ni de péage, et que finalement elle portera dommage aux rois.

Or, comme nous mangeons le sel du palais, et qu'il n'est pas convenable que nous soyons témoins de ce dommage fait au roi, nous envoyons cette lettre au roi et lui faisons savoir ceci:

C'est aussi pour cela que vous payez des impôts, parce qu'ils sont les ministres de Dieu, en s'appliquant à ces devoirs.

Rendez donc à tous ce qui leur est dû: le tribut, à qui vous devez le tribut; les impôts, à qui les impôts; la crainte, à qui la crainte; l'honneur, à qui l'honneur.