Alors Élisée dit: L'Éternel des armées, devant qui je me tiens, est vivant! si je n'avais égard à Josaphat, roi de Juda, je ne ferais point attention à toi, et je ne te regarderais pas.
Alors Élie, le Thishbite, l'un de ceux qui s'étaient établis en Galaad, dit à Achab: L'Éternel, le Dieu d'Israël, en la présence de qui je me tiens, est vivant! pendant ces années-ci, il n'y aura ni rosée ni pluie, sinon à ma parole.
Alors Guéhazi, serviteur d'Élisée, l'homme de Dieu, dit en lui-même: Voici, mon maître a ménagé Naaman, ce Syrien, et n'a pas accepté de sa main ce qu'il avait apporté. L'Éternel est vivant! je courrai après lui et j'en recevrai quelque chose.
Mais Élisée lui dit: Mon esprit n'est-il pas allé là où cet homme a quitté son char pour venir à ta rencontre? Est-ce le temps de prendre de l'argent, de prendre des vêtements, puis des oliviers et des vignes, des brebis et des boeufs, des serviteurs et des servantes?
Mais l'homme de Dieu dit au roi: Quand tu me donnerais la moitié de ta maison, je n'entrerais pas chez toi, et je ne mangerais de pain ni ne boirais d'eau en ce lieu-ci.
Alors Daniel répondit, et dit devant le roi: Que tes dons te demeurent, et fais à un autre tes présents; toutefois je lirai l'écriture au roi, et je lui en donnerai l'interprétation.
Je n'ai désiré ni l'argent, ni l'or, ni les vêtements de personne.
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Et vous savez vous-mêmes que ces mains ont pourvu à mes besoins et à ceux des personnes qui étaient avec moi.
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Je vous ai montré en toutes choses, que c'est ainsi qu'en travaillant, il faut secourir les faibles, et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, qui a dit lui-même: Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir.
Et, lorsque je me suis trouvé dans le besoin parmi vous, je n'ai été à charge à personne; car les frères qui étaient venus de Macédoine, ont suppléé à ce qui me manquait. Et en toutes choses je me suis gardé, et je me garderai de vous être à charge.
Voici, pour la troisième fois je suis prêt à aller vers vous; et je ne vous serai point à charge, car ce ne sont pas vos biens que je cherche, c'est vous-mêmes; car ce n'est pas aux enfants à amasser pour leurs parents, mais c'est aux parents à amasser pour leurs enfants.