Or les serviteurs du roi de Syrie lui dirent: Leur dieu est un dieu de montagnes, c'est pourquoi ils ont été plus forts que nous; mais combattons contre eux dans la plaine, nous l'emporterons bien sur eux.
Mais ses serviteurs s'approchèrent, et lui dirent: Mon père, si le prophète t'eût dit quelque chose de difficile, ne le ferais-tu pas? Combien plus lorsqu'il te dit: Lave-toi et tu seras pur!
Et il arriva, aussitôt qu'Achab eut entendu ces paroles, qu'il déchira ses vêtements, et mit un sac sur sa chair et jeûna; et il couchait enveloppé du sac, et se traînait en marchant.
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Alors la parole de l'Éternel fut adressée à Élie, le Thishbite, en ces mots:
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As-tu vu comment Achab s'est humilié devant moi? Parce qu'il s'est humilié devant moi, je ne ferai pas venir ce malheur de son temps; ce sera aux jours de son fils que je ferai venir le malheur sur sa maison.
Mais David dit à Joab et à tout le peuple qui était avec lui: Déchirez vos vêtements et ceignez-vous de sacs, et menez deuil sur Abner. Et le roi David marcha derrière le cercueil.
Envoya à Thékoa, et fit venir de là une femme habile et lui dit: Je te prie, mets-toi en deuil, revêts-toi d'habits de deuil, et ne t'oins pas d'huile, mais sois comme une femme qui depuis longtemps pleure un mort;
Puis il envoya Éliakim, le préfet du palais, et Shebna, le secrétaire, et les anciens d'entre les sacrificateurs, couverts de sacs, vers Ésaïe, le prophète, fils d'Amots.
Or, quand Mardochée eut appris tout ce qui avait été fait, il déchira ses vêtements, se couvrit d'un sac et de cendre, et il sortit par la ville, criant d'un cri grand et amer.
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Et il vint jusque devant la porte du roi; car il n'était point permis d'entrer dans le palais du roi, étant vêtu d'un sac.
3
Et dans chaque province, dans les lieux où la parole du roi et son ordonnance parvinrent, les Juifs furent en grand deuil, jeûnant, pleurant et se lamentant; et plusieurs se couchaient sur le sac et la cendre.
Si nous parlons d'entrer dans la ville, la famine y est, et nous y mourrons; et si nous demeurons ici, nous mourrons également. Venez donc, et glissons-nous dans le camp des Syriens. S'ils nous laissent vivre, nous vivrons; et s'ils nous font mourir, nous mourrons.
Va, assemble tous les Juifs qui se trouvent à Suse, et jeûnez pour moi; ne mangez ni ne buvez de trois jours, tant la nuit que le jour; et pour moi et mes servantes, nous jeûnerons de même; puis je m'en irai ainsi vers le roi, bien que ce soit contre la loi; et s'il arrive que je périsse, je périrai!
Et ne craignez point ceux qui ôtent la vie du corps, et qui ne peuvent faire mourir l'âme; mais craignez plutôt celui qui peut faire périr et l'âme et le corps dans la géhenne.