Bouillonnant comme l'eau, tu n'auras point la prééminence, car tu es monté sur la couche de ton père. Tu as souillé mon lit en y montant.

Pourquoi tant te précipiter pour changer ton chemin! Tu auras autant de confusion de l'Égypte que tu en as eu de l'Assyrie.

De là aussi tu sortiras ayant tes mains sur la tête. Car l'Éternel a rejeté les objets de ta confiance, et tu ne réussiras point auprès d'eux.

L'homme dont le cœur est partagé, est inconstant en toutes ses voies.

Alors Lot, levant les yeux, vit toute la plaine du Jourdain, qui (avant que l'Éternel eût détruit Sodome et Gomorrhe) était arrosée partout, en allant vers Tsoar, comme le jardin de l'Éternel, comme le pays d'Égypte.

Et Abram dit au roi de Sodome: Je lève ma main vers l'Éternel, le Dieu Très-Haut, fondateur des cieux et de la terre,

Et le Midi, et la plaine, la vallée de Jérico, la ville des palmiers, jusqu'à Tsoar.

Mon cœur gémit sur Moab, dont les fugitifs courent jusqu'à Tsoar, jusqu'à Églath-Shélishija. Car on monte en pleurant la montée de Luchith; car on fait retentir le cri de la ruine au chemin de Horonajim.

A cause des cris de Hesbon, ils font entendre leur voix jusqu'à Élealé, jusqu'à Jahats, depuis Tsoar jusqu'à Horonajim, jusqu'à Églath-Shélishija. Car les eaux de Nimrim sont aussi désolées.