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Lehem Ha Haim - Pourim et Pessah

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Le contexte historique qui précède Pourim qui précède Pessah

 

La fête de Pourim sera célébrée Lévitique 14 du mois de Adar. Adar (Hébreu : אֲדָר) est Lévitique 6e mois du calendrier juif. Que s’est-il passé auparavant pour que la situation s’envenime à ce point pour le peuple juif de l’époque, pour que le peuple entier soit obligé d'échapper de justesse à un génocide ? Dans les communautés juives dans le monde, il n'existe pas un enfant d'Israël qui n'a pas entendu cette histoire racontée depuis sa plus tendre enfance dans les moindres détails. Le peuple juif apprend qu'à Hannoukah Israël a évité de justesse à sa destruction spirituelle, que Pourim représente la victoire d'Israël sur un ennemi qui a voulu le détruire physiquement.

A Pessah de même, Israël a échappé aussi à un esclavage quatre fois centenaire en Egypte grâce au sang d'un agneau pur.

Mais l'on apprend aussi que dans toutes ces célébrations, un point les relie toutes : l'intervention miraculeuse de Dieu à cause de la haine éternelle de Satan sur le peuple d'où sortirait le Messie. Et lorsque Dieu intervient, des âmes sont touchées.

Deux femmes ont été utilisées par Dieu. Ruth la moabite était une païenne qui s'est attachée à sa belle mère Naomie puis à Boaz, un juif, de qui descendra plus tard le Messie Yeshoua. A Pourim, il s'agit d'une juive, Esther, qui s'est attachée à un païen, le roi Assuérus. 

Pourim et Pessah 

 

Si à Pessah, un nombre considérable d'égyptiens se sont attachés aux enfants d'Israël pour les suivre dans leur destinée, on apprend qu'à Pourim Esther est devenue comme une sainte vénérée par la population iranienne. Comme on le verra plus loin, malgré les tyrans en place contre leur propre population comme Khomeiny, Sadam Hussein ou Ahmadinedjad, les iraniens vénèrent la juive Esther.
La Bible montre que quand Israël s'était éloigné de Dieu, des jugements s'abattaient sur son peuple pour la bonne et simple raison que Dieu s'est attaché à ce peuple et qu'il veut le ramener à Lui comme un père se doit de corriger ses enfants.
 
Pourim représente une victoire physique qui est célébrée un 14 Adar. Un mois plus tard, Lévitique 14 Nissan, c'est une autre victoire qui est célébrée : c'est la victoire des victoires du Seigneur des seigneurs : Pessah, le sacrifice de l'agneau qui délivre, pas seulement les juifs mais l'humanité toute entière de la condamnation éternelle dûe au péché. Pourim (le sort) annonce donc la venue de Pessah (le Passage) un mois après la victoire sur les ennemis d'Israël.
 
Le jour fixé alors pour l'extermination des Juifs devient aussi celui de la défaite et du massacre de leurs ennemis spirituels  : Satan est démasqué et piétiné sous nos pieds. La date d'anniversaire de ce jour correspond à une célébration au printemps qui précède la fête de la délivrance finale et définitive de Pessah.
 

14 Adar - 14 Nissan 

 
Ce n’est donc pas un hasard que cette histoire d’Esther, histoire du sauvetage des juifs et de l’humanité toute entière précède de quelques semaines Pessah. Par ailleurs, au moment où le livre a été écrit, c'est-à-dire à une époque où les Juifs avaient perdu tout espoir d'indépendance nationale, il voulait rappeler à ceux-ci de quelles grandes délivrances ils pouvaient être l'objet. 
 
Pourim et Pessah ont donc en commun l’action prodigieuse de Dieu envers son peuple et la preuve que Dieu veut l'attirer à Lui.
 

Aujourd'hui en Iran 

 

Extrait du site http://www.upjf.org/diaspora/article-9711-126-5-pelerinages-en-iran-tombe-esther-haaretz.html
 
Les Juifs célèbrent la fête de Pourim dans le monde entier, mais le récit, situé en Perse, revêt un sens spécial pour les Juifs d’Iran. Ces dernières décennies ont été dures pour les Juifs d’Iran, dont beaucoup ont fui le pays après la révolution islamique de 1979. D’une communauté d’environ 100 000 ne restent aujourd’hui que 25000 à 30 000.
 
Ce mois-ci, des Juifs de tout l’Iran vont prier dans un sanctuaire de Hamadhan, dans le nord-ouest du pays, dédié aux héros du récit de Pourim. Ils y retrouveront vraisemblablement des chrétiens et des musulmans qui se rendent tout au long de l’année dans ce sanctuaire peu ordinaire. Le bâtiment ressemble à un mausolée islamique (emamzadeh) mais ses murs sont ornés d’inscriptions hébraïques décrivant les origines d’Esther et Mordechaï. 
On sera surpris d’apprendre qu’en fait, l’histoire de Pourim concerne tous les Iraniens.
 
Esther n’était pas seulement une reine juive, mais, en tant qu’épouse du roi Assuérus (Xerxès Ier), elle continue à être honorée comme reine de Perse, et est un symbole de l’histoire de l’Iran.
 
Bien que son nom ait été Hadassah, qui signifie "cachée" en hébreu, on la connaît sous le nom "Esther". L’écrivain et lettré Haideh Sahim explique que le nom Esther provient du mot persan astaar, qui signifie étoile. La croyance veut qu’Esther et Mordechaï soient enterrés dans le sanctuaire de Hamadhan, appelé autrefois Hegmataneh (Ecbatane), au cinquième siècle avant l’ère chrétienne.
 
Selon une légende persane, le caveau et ses alentours servirent de refuge à des Iraniens lors de la conquête arabe de la Perse en 621 de notre ère. L’histoire dit que le peuple d’Iran se rassembla près du tombeau afin de se placer sous la protection des âmes d’Esther et de Mordechaï lorsque les Arabes entreprirent la conquête de la cité de Hegmataneh. Un monument, dont la datation exacte est discutée, entre le XIIIe et le XVIIe siècle, a été érigé sur les tombes, et les Iraniens, les Juifs comme les autres, pensent que le lieu est sacré et ne peut être détruit.
 
Pendant des générations, les Juifs de Hamadhan ont veillé sur la tombe et maintenu les coutumes de la fête de Pourim. Touba Somekh, qui joua un grand rôle dans la restauration du site dans les années 1920, a raconté dans une interview en 1998, quatre ans avant sa mort, comment les Juifs ont réussi à poursuivre l’entretien des tombes.
 
Touba Somekh militait au sein d’un petit groupe de femmes de Hamadhan, en avance pour son époque, nommé Hadassah, en souvenir d’Esther. Les femmes récitaient des psaumes, bavardaient des nouvelles du jour et étudiaient ensemble.
 
Vers 1925, Touba Somekh apprit que la municipalité entendait clôturer la tombe et en prendre le contrôle, à moins que la communauté juive locale, la hebra, puisse s’en charger. Bien qu’elle n’ait été alors âgée que de 15 ans, mais déjà mère de deux enfants, Touba Somekh pensa aussitôt à la trésorerie de 300 tomans de l’association Hadassah (une somme importante pour l’époque) et déclara fièrement à son beau-frère que le comité des femmes avait les moyens de préserver le sanctuaire. Le lendemain, son beau-frère en informa les membres de la hebra.
 
« J’en ai eu des sueurs froides sous mon tchador, se souvient Touba. J’étais une toute jeune femme qui avait pris la parole, et qu’on prenait au sérieux. Qu’allait-il advenir ? » Le comité des femmes fut capable de fournir la mise de fonds initiale pour la restauration et l’agrandissement nécessaires.
 
Ces jours-ci, le sanctuaire, comme la fête en général, est particulièrement important pour les femmes. Des femmes de toutes les religions visitent le site et y prient pour avoir des enfants, apportant des étoffes multicolores et des vêtements qu’elles posent sur les tombes ou offrent à la salle de prière voisine. Un vêtement qui a touché le sanctuaire est considéré comme béni. Les personnes en détresse matérielle ou morale y déploient une pièce de tissu qu’elles utiliseront pour confectionner des vêtements.
 
Seules quatre ou cinq familles juives vivent encore à Hamadhan, ce qui alimente les craintes pour l’avenir du sanctuaire. « Pour ce que j’en sais, déclare Houman Sarshar, éditeur du livre "Les enfants d’Esther : Portraits de Juifs iraniens", il n’y a jamais eu de problème quant à la la garde du site. Celui qui s’en occupe maintenant n’est d’ailleurs pas juif. La synagogue attenante est la seule en service à Hamadhan.
 
Certains croient que c’est l’esprit d’Esther et de Mordechaï qui survivra et protégera les Juifs d’Iran, poursuivant un héritage de 2 500 ans. D’autres, comme Haideh Sahim, s’inquiètent : « Qui prendra soin de notre Esther ?»
 
Helen Eliassian  © Haaretz pour l’original et Upjf.org, pour la version française.
 

L'origine

 
La rédaction du livre d'Esther est traditionnellement attribuée à Esdras, auteur présumé des textes de loi qui donnèrent à la communauté juive de Jérusalem sa cohésion religieuse et nationale. Flavius Josèphe et Clément d'Alexandrie soutiennent cette attribution, le personnage ayant vécu en Perse. Cependant, l'œuvre reste anonyme et la date de sa rédaction est discutée. 
 
En 587 av. Yeshoua HaMashiah, les Babyloniens détruisent le royaume de Juda. Nebuchadnetsar II fait alors déporter à Babylone l'élite judéenne et détruit le temple de Jérusalem. 
 
L’histoire biblique nous rappelle dans les livres de Daniel (Daniel 1-9) et d’Ezra (Esdras 1-6) le contexte du récit repris par la tradition juive dans la Meguila d’Esther. Ce fut entre Lévitique 5ième et Lévitique 4ième siècle avant Yeshoua HaMashiah que le peuple juif, déjà exilé en Babylonie, avait perdu sa souveraineté et son sanctuaire et était exilé en Babylonie.
 

La déportation à Babylone

 
Un demi siècle plus tard, en 539, Babylone est prise par le roi Perse Cyrus. Alors que la politique des rois assyriens et babyloniens avait été de déporter les peuples conquis, c'est-à-dire de les retirer de leur propre pays et de les répartir dans d'autres pays, la politique des rois perses, exactement à l'opposé, fut de rapatrier ces peuples, c'est-à-dire de les renvoyer dans leur propre pays. Les rois perses étaient plus humains et c'était là, une des premières actions de Cyrus, monarque juste et noble.
 
L'autorisation est alors donnée aux exilés de retourner en Judée pour s'y réinstaller et reconstruire le temple. Ce mouvement de retour en «terre sainte» qui débuta sous Cyrus et se poursuivit sous celui de ses successeurs notamment Darius Ier, ne fut cependant pas général et de nombreux Juifs continuèrent à vivre en diaspora dans l'empire perse bénéficiant ainsi de la politique tolérante des souverains achéménides inaugurée par Cyrus et poursuivie jusqu'à la défaite de Darius III devant Alexandre le Grand (en 330). 
 
Le récit d'Esther se déroule approximativement en 478 ans av.YM om Esther est placée à la cour du roi de Perse. Les Perses dominaient l’empire et leur pouvoir s’étendait de l’Inde à l’Ethiopie. Alors qu’Israël se trouvait sous la domination de Cyrus, celui-ci avait donné la permission aux Juifs de retourner en Israël et d’y reconstruire le Temple. 
 
"La première année de Cyrus, roi de Perse, afin que s’accomplît la parole de l’Eternel prononcée par la bouche de Jérémie, l’Eternel réveilla l’esprit de Cyrus, roi de Perse, qui fit faire de vive voix et par écrit cette publication dans tout son royaume: 23  Ainsi parle Cyrus, roi de Perse: L’Eternel, le Dieu des cieux, m’a donné tous les royaumes de la terre, et il m’a commandé de lui bâtir une maison à Jérusalem en Juda. Qui d’entre vous est de son peuple? Que l’Eternel, son Dieu, soit avec lui, et qu’il monte!" (2 Chroniques 36 : 22)
 
 
"1 La première année de Cyrus, roi de Perse, afin que s’accomplît la parole de l’Eternel prononcée par la bouche de Jérémie, l’Eternel réveilla l’esprit de Cyrus, roi de Perse, qui fit faire de vive voix et par écrit cette publication dans tout son royaume: 2  Ainsi parle Cyrus, roi des Perses: L’Eternel, le Dieu des cieux, m’a donné tous les royaumes de la terre, et il m’a commandé de lui bâtir une maison à Jérusalem en Juda.  3  Qui d’entre vous est de son peuple? Que son Dieu soit avec lui, et qu’il monte à Jérusalem en Juda et bâtisse la maison de l’Eternel, le Dieu d’Israël! C’est le Dieu qui est à Jérusalem. 4  Dans tout lieu où séjournent des restes du peuple de l’Eternel, les gens du lieu leur donneront de l’argent, de l’or, des effets, et du bétail, avec des offrandes volontaires pour la maison de Dieu qui est à Jérusalem. 5  Les chefs de famille de Juda et de Benjamin, les sacrificateurs et les Lévites, tous ceux dont Dieu réveilla l’esprit, se levèrent pour aller bâtir la maison de l’Eternel à Jérusalem. 6  Tous leurs alentours leur donnèrent des objets d’argent, de l’or, des effets, du bétail, et des choses précieuses, outre toutes les offrandes volontaires. 7  Le roi Cyrus rendit les ustensiles de la maison de l’Eternel, que Nebucadnetsar avait emportés de Jérusalem et placés dans la maison de son dieu. 8  Cyrus, roi de Perse, les fit sortir par Mithredath, le trésorier, qui les remit à Scheschbatsar, prince de Juda. 9  En voici le nombre: trente bassins d’or, mille bassins d’argent, vingt-neuf couteaux, 10  trente coupes d’or, quatre cent dix coupes d’argent de second ordre, mille autres ustensiles. 11  Tous les objets d’or et d’argent étaient au nombre de cinq mille quatre cents. Scheschbatsar emporta le tout de Babylone à Jérusalem, au retour de la captivité." (Esdras 1 : 1-11) 
 

Dans l'Empire Médo-Perse à Ecbatane, les conseillers à la cour perse rappellent à Cyrus II que les 70 années d'exil que devaient endurer les Juifs et qui avaient été prophétisées par Jérémie se sont écoulées. Lévitique 16 adar, par décret, Cyrus II autorise la reconstruction du Temple de Jérusalem, et favorise l'Alyah, littéralement la "montée" - soit le retour en Israël de milliers de Juifs venus de tout le pays.

Une partie du peuple s’y était rendue et, dans des conditions difficiles, en avait entamé la reconstruction des fondations.

Sous le règne Ahashvérosh (Assuérus 485-465), les Samaritains, intriguant contre les Juifs, les accusèrent de vouloir se révolter contre la Perse (Esdras 4 : 6   Sous le règne d’Assuérus, au commencement de son règne, ils écrivirent une accusation contre les habitants de Juda et de Jérusalem) ; le roi prêta foi à ces accusations et fit arrêter la construction du Temple. Esdras 4 : « 21  En conséquence, ordonnez de faire cesser les travaux de ces gens, afin que cette ville ne se rebâtisse point avant une autorisation de ma part. 22  Gardez-vous de mettre en cela de la négligence, de peur que le mal n’augmente au préjudice des rois. 23  Aussitôt que la copie de la lettre du roi Artaxerxès eut été lue devant Rehum, Schimschaï, le secrétaire, et leurs collègues, ils allèrent en hâte à Jérusalem vers les Juifs, et firent cesser leurs travaux par violence et par force. 24  Alors s’arrêta l’ouvrage de la maison de Dieu à Jérusalem, et il fut interrompu jusqu’à la seconde année du règne de Darius, roi de Perse. »

Dès son ascension sur le trône, Ahashvérosh reçoit une lettre inspirée par Mitridate et Tabel et remise par deux officiers samaritains affectés en Judée dénommés Rahoum et Chimchaï. Dans cette lettre, ces derniers avaient faussé les décrets des rois précédents. Ils avaient recommandé au roi avec l'appui de la reine Vachti, d'annuler le projet de reconstruction du Temple de Jérusalem, afin que les Juifs ne puissent jamais retrouver leur indépendance politique, et édifier à nouveau un royaume. Chimchaï est l'un des fils d'Haman, un descendant d'Agag l'hamalécite. La tradition juive rapporte qu'Assuérus II voulut s'asseoir sur le trône du roi Salomon qui avait été dérobé dans le Temple de Jérusalem. Et qu'il reçut un coup de patte de l'un des animaux qui l'ornait. N'osant plus l'utiliser, il ordonna à ses savants de lui construire un trône à l'identique. C'est sous le règne de ce dernier que se dérouleront les événements qui conduiront les Juifs à célébrer la fête du miracle de Pourim ou la fête des Sorts. (http://www.hebraica.org/histoire.php?id=224) 

Les travaux ne purent être repris qu’au temps de Darius. Esdras 6:12 «  Que le Dieu qui fait résider en ce lieu son nom renverse tout roi et tout peuple qui étendraient la main pour transgresser ma parole, pour détruire cette maison de Dieu à Jérusalem! Moi, Darius, j’ai donné cet ordre. Qu’il soit ponctuellement exécuté. »
 
L’ordre fut effectivement respecté jusqu’au 3 Adar après 6 ans de règne de Darius.
 
Esdras 6:15  "La maison fut achevée le troisième jour du mois d’Adar, dans la sixième année du règne du roi Darius."
 
L’histoire de Pourim se situe donc à une époque où une partie du peuple juif se trouvait en Israël attendant de pouvoir réédifier le Temple ; l’autre était dispersée dans l’empire perse. A Suze, lieu de résidence d’Assuérus, il y avait également une communauté juive : c’est là où notre récit se déroule. Bien que le livre d'Esther soit situé après le livre de Néhémie, il en est antérieur d'une trentaine d'années. Il semble donc qu'Esther ait rendu possible le travail de reconstruction par Néhémie.
Sans Esther, Jérusalem n'aurait probablement jamais été reconstruite, le peuple aurait été exterminé et le Messie Yeshoua ne serait jamais venu pour payer pour le péché de l'humanité et nous étions tous destinés à la perdition éternelle sans possibilité aucune de salut. Pourim était historiquement une tentative de génocide physique du peuple juif mais par conséquent, l'arrêt immédiat du plan de rachat de l'humanité par les descendants des enfants d'Israël d'où est sorti le Sauveur. Tout, dans l'histoire des juifs, nous rappelle la présence salvatrice du Messie Yeshoua et la tentative de Satan de détruire toute possibilité matérielle au Messie de revenir.
Mais la volonté de Dieu s'accomplit toujours, d'une manière ou d'une autre. Quoi qu'il se soit déroulé par le passé, la Vie d'Israël, tout comme la nôtre, est entre les mains du Tout Puissant.
Pour Israël aveuglé sur la question de Yeshoua, Dieu s'occupe de son peuple.
Pour nous qui sommes nés de nouveau, nous appartenons au Seigneur si du moins nous avons mis notre Foi dans le Messie d'Israël Yeshoua HaMashiah et dans le sang du sacrifice qui seul purifie notre conscience.
 
Amen
 
Jacques Sobieski
 
Beth Yeshoua
 
Une série de textes intéressants vous sont proposés sur le site suivant et qui relatent les événements de Pourim :
http://www.maranathaglobal.org/cat/other-languages/francais/
Un Homme que le Roi Veut Honorer
Premières demandes d’Esther
Esther et le sceptre d’or
Pour Un Temps Comme Cela
Est-il lorsque les églises scripturale devenir des entreprises familiales?
Haman et Mardochée
Préparation et Mariage d’Esther
Vasthi démise de ses fonctions Royal
Découverte et éducation d’Esther
Les Sept Eunuques de Xerxès dans Ester 1
 
 

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